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Métiers techniques : le pari gagnant de trois alternants EDF

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Thomas Belmonte-Bosch, alternant chez EDF © EDF
publié le 27 mars 2018
6 min

Ils ont entre 19 et 33 ans, ne suivent pas les mêmes cursus et viennent de régions différentes de France. Lucie Segond, Thomas Belmont Bosch et Thomas Bouakkaz ont pourtant des points communs : ils sont alternants chez EDF et ont tous les trois fait le choix d’un métier à haute technicité. Ce qu’ils aiment tous ? Le contact direct avec le terrain, le travail en équipe et la rigueur inhérente aux métiers techniques. Portraits de ces jeunes talents passionnés et fiers de leur choix.

Thomas Belmont Bosch, au Tricastin : « Petit à petit, j’apprivoise cet univers technique »

À 19 ans, Thomas Belmont Bosch est en DUT génie électrique et informatique industrielle à Nîmes. Après ses premiers mois d’alternance sur le site de la centrale du Tricastin, Thomas, technicien de maintenance au sein du service automatisme et informatique industrielle, a pris du galon en passant les habilitations nécessaires pour accéder aux zones à risques. Depuis début février, moins de 6 mois après son arrivée, il peut désormais animer le PJB, le « pré-job briefing », soit le recensement de l'ensemble des risques et parades avant de partir sur le terrain. « Par exemple, une pompe électrique devait être changée dans une zone contrôle. Le PJB a évalué les risques de contamination, les risques électriques et ceux liés à la manutention ». Aujourd'hui, c’est pour Thomas une étape importante d’animer ces briefings. « Au départ, je ne maîtrisais pas le langage technique propre à EDF. Petit à petit, avec l'aide des équipes, j'ai apprivoisé cet univers », raconte-t-il. Ainsi, le jeune homme apprécie tout particulièrement l'autonomie qu'on lui accorde dans un domaine qu'il ne connaissait pas en arrivant. « Autonomie et encadrement, c’est le parfait combo pour se sentir valorisé, précise-t-il. Surtout quand l’équipe est aux petits soins ! »

Lucie Segond, à Gravelines : « On ne s’ennuie pas ! »

À Gravelines aussi, Lucie a découvert un esprit d’équipe particulièrement rassurant. Lucie Segond est étudiante en 2e année de BTS contrôle industriel et régulation automatique à Longuenesse et technicienne en automatisme au CNPE (Centre Nucléaire de Production d’Electricité) de Gravelines. « J'avais quelques appréhensions quand je suis arrivée en tant que femme dans un métier technique, mais en fait, l'ambiance est très conviviale », assure la jeune étudiante de 19 ans. « Un groupe soudé, c’est aussi une véritable opportunité d’apprendre », dit-elle. En effet, Lucie ne travaille jamais avec le même binôme au sein de l'équipe de 20 personnes : « Une chance pour mon apprentissage, car chaque personne a sa manière de travailler ». Autre atout selon Lucie : la diversité des activités. « Il n'y a pas vraiment de journée-type, raconte-t-elle. Le lundi, je peux aller en zone contrôle faire un essai périodique, le mardi, procéder à des essais sur la turbine, ou bien rester à l'atelier sur des étalonnages de capteurs. » Après son BTS, Lucie aimerait continuer ses études. École d'ingénieurs ou licence pro, une chose est certaine, elle souhaite poursuivre en alternance chez EDF. « Une fois qu'on a goûté au travail, c'est difficile de revenir en arrière », dit la jeune femme.

Thomas Bouakkaz, à Cruas : « On me fait confiance »

À Cruas, Thomas Bouakkaz partage le même sentiment que Lucie sur l’alternance. D’ailleurs, quand il a voulu reprendre ses études, le choix de l'alternance s’est imposé à lui comme une évidence. À 33 ans, ce titulaire d'un bac pro maintenance a travaillé plus de 10 ans dans ce domaine. Mais, ces dernières années, il s'est rendu compte que « le bac + 2 était le minimum pour monter en compétence ». Thomas postule en 2017 sur le site emploi d’EDF et passe avec brio les étapes du recrutement. Il est désormais en 1re année de BTS maintenance des systèmes de production à Montélimar et technicien de maintenance au CNPE de Cruas, en Ardèche. Pourquoi ce choix ? « Je suis originaire de la ville de Vienne, non loin de la centrale de Saint-Alban. Plusieurs amis y ont travaillé en alternance, et ils en étaient tous très contents. » À 33 ans, Thomas, reconnu travailleur handicapé, bénéficie d’une dérogation pour son contrat d'apprentissage. Mais, dit-il, « je n'ai jamais été obligé d'en parler au cours de mes entretiens de recrutement. Et dans mon cas, seuls les gestes répétitifs sont interdits. Il n'y en a pas du tout dans mon service. J’ai donc obtenu le feu vert lors de la visite médicale. » Passionné, Thomas décrit avec précision la technicité de sa fonction, un métier de maintenance et de contrôle de l'outillage spécifique à la centrale. « Pour les prochains mois, j'ai en charge le dossier de la maintenance du déshuileur du site, une machine qui sépare les huiles de l'eau, ainsi que la gestion du planning avec les autres services impliqués sur ce projet », explique-t-il.
Autant de responsabilités qui donnent confiance à Thomas et qui le motivent pour poursuivre sa carrière dans le domaine du nucléaire, « pourquoi pas chez EDF si on me le propose », souffle-t-il. Lucie Segond et Thomas Belmont Bosch envisagent quant à eux de poursuivre leurs études, une première expérience terrain en poche. Et l’alternance chez EDF, vous la recommanderiez à un ami ? « À 100 % ! », disent-ils en chœur. Des jeunes pleins d’avenir, on vous dit !

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