« Produire de la connaissance sur la jeunesse pour informer et lutter contre la stigmatisation »… tel est le programme ambitieux du tout nouveau Cercle national de réflexion sur la jeunesse (CNRJ) . A l’écart des circuits institutionnels, ce cercle est né à l’initiative de chercheurs et d’acteurs sociaux, parmi lesquels Grégoire Tirot, auteur de l’ouvrage « La France anti-jeune » (Max Milo éditions, 2008) et Pierre-Yves Chiron, sociologue.
La jeunesse n'est pas un problème
« Nous faisons le pari que si la jeunesse peut être une question, elle n’est pas un problème. Elle est même un avenir et, plus encore, une solution », souligne Frédéric Fappani, président du CNRJ. A l’heure où la jeunesse tient la corde parmi les thèmes en vogue pour la présidentielle 2012 (lire ou écouter l’édito politique de Thomas Legrand sur France Inter ), l’équipe de ce « think tank » propose de rédiger un « livre blanc pour la jeunesse » à l’attention des principaux candidats.
Et pour relayer leurs travaux, ce centre de recherche vient de lançer une revue baptisée Speculum Mentis, du latin "miroir de l'âme". Déjà tout un programme.
