Quel est le devenir du modèle SYMPA ?
En 2009, ce modèle a été mis en place pour la première fois. Il a permis de corriger les retards historiques et de faire entrer les universités dans la culture du résultat. C’est ainsi que des établissements comme Lille 2 ou Toulouse 1 qui ont accueilli beaucoup d’étudiants supplémentaires depuis 10 ans et avec des performances en recherche et en formation notables ont eu des augmentations très importantes. Ce modèle est toujours d’actualité.
Est-il envisageable que des modifications soient apportées au modèle SYMPA ?
A moyen et long terme, il mérite d’être ajusté, notamment pour mieux prendre en compte le coût des différentes formations. A titre d’exemple, le coût d’un étudiant en SHS ou en physique peut varier de façon significative. C’est l’objet du travail que nous mènerons avec la CPU en 2012.
Quelles seront les clés de répartition des budgets entre les établissements pour 2012 ?
Concernant 2012, nous trouverons les voies, en dialogue avec la CPU, de traiter la question des universités qui seraient moins bien dotées et qui auraient une activité et une performance dynamique.
