Médecine : pas de bug majeur pour le nouveau test des ECNi

Virginie Bertereau - Mis à jour le
Médecine : pas de bug majeur pour le nouveau test des ECNi
Réduit à une demi-journée et facultatif, ce test supplémentaire aux ECNi a permis de déceler quelques imperfections restant encore à corriger. // ©  Virginie Bertereau
Le test supplémentaire des ECNi (Épreuves classantes nationales informatisées), programmé le 5 février 2016, a rassuré les étudiants de médecine. Contrairement au premier de décembre 2015, les épreuves se sont déroulées sans gros problème. Reste cependant quelques anomalies à régler.

Les étudiants en médecine l'avaient réclamé pour se rassurer. Le test supplémentaire aux ECNi (Épreuves classantes nationales informatisées), réduit à une demi-journée et facultatif, n'aura pas été de trop. En décembre 2015, le premier essai grandeur nature avait tourné au fiasco.

Pendant deux mois, le CNG (Centre national de gestion), son organisateur, a apporté des modifications au système. Et le résultat est là. Vendredi 5 février 2016, aucun bug majeur n'a été signalé, mais des imperfections doivent être encore corrigées.

Peut encore mieux faire...

À 13 h 30, les étudiants ont pourtant retenu leur souffle. La première épreuve, celle des 40 questions isolées, a commencé avec du retard à cause de problèmes de connexion.

Puis de petits défauts ont été signalés. Par exemple, la question des images. Cette fois-ci, si les étudiants pouvaient zoomer, le résultat laissait à désirer.

Quant au taux de participation nationale – entre 66% et 77% des candidats selon les épreuves, issus des 34 facultés du territoire, ont testé ce nouvel outil, d'après le CNG – il a a été satisfaisant. Un bon point, avant la dernière grande répétition générale, prévue début mars 2016.

Virginie Bertereau | - Mis à jour le