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Noémie, en 5e année à Sciences po Grenoble : "Le campus est sympa, avec une vie étudiante dynamique"

publié le 01 décembre 2012
3 min

Noémie - Grenoble - IEPNoémie, 21 ans, en 5e année à Sciences po Grenoble, souhaitait au départ être journaliste. Elle vise désormais le monde de l'édition, et nous raconte son parcours grenoblois.

Pourquoi avez-vous choisi de faire vos études à Sciences po Grenoble ?

Après mon bac ES à Grenoble, j’ai réussi le concours d’entrée de l’IEP. Au départ, je n’étais pas trop sûre de ce que je voulais faire. Je pensais au journalisme. Je voulais surtout une formation qui me laisse du temps pour faire mon choix de métier plus tard.

J’avais aussi préparé un peu le concours commun [Aix, Lille, Lyon, Rennes, Strasbourg, Toulouse], mais je voulais rester dans ma ville.

Qu’est ce qui vous plaît à Grenoble ?

J’aime beaucoup Grenoble : le campus est sympa, avec une vie étudiante dynamique, et le cadre naturel permet de faire plein de choses. Pas seulement du ski : je fais pas mal de voile aussi, car il y a beaucoup de lacs. Nous sommes en plus à seulement 1h de Lyon, et à 3h de Paris.

Où préférez-vous sortir ?

Il y a vraiment beaucoup de bars sympas dans le centre ville. Par exemple Les Frères Bertham, ou le Basse-Terre.

A-t-il été facile de s’intégrer à l’IEP ? Etes-vous satisfaite de la formation ?

Oui, car l’ambiance est bonne. J’avais justement peur en arrivant en 2e année – j’avais fait un an en fac d’histoire avant – mais cela s’est très bien passé. Dans les matières, il y a du bon et du moins bon comme toujours. Ce qui est bien, c’est qu’on est vraiment libre de construire son parcours. Je suis maintenant en master communication, et cela m’intéresse beaucoup. Je souhaite être éditrice, ou travailler dans les services com’ ou relations publiques des maisons d’édition par exemple.

Par contre, il ne faut pas croire qu’une fois le concours d’entrée réussi on ne fait plus rien pendant les cinq années d’études. Il faut quand même bien travailler. Ce n’est pas insupportable mais on ne peut pas se la couler douce non plus.

Quel conseil donneriez-vous à un lycéen qui doit faire son choix d’études ?

Il ne faut pas qu’il panique surtout, car pendant les deux ou trois premières années d’études, il a vraiment le droit à l’erreur, avec toujours la possibilité de changer ou de rebondir. Il ne faut pas qu’il se dise que s’il choisit une filière, il s’enferme pour toujours.

Propos recueillis par Camille Stromboni

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