Décryptage

Huit écoles d'ostéopathie retrouvent leur agrément pour la rentrée 2016

31 écoles d'ostéopathie sont désormais agréées par le ministère de la Santé.
31 écoles d'ostéopathie sont désormais agréées par le ministère de la Santé. © REA
Par Virginie Bertereau, publié le 11 mars 2016
1 min

Privées d’agrément par le ministère de la Santé en juillet 2015, huit écoles viennent de retrouver le droit de former des étudiants pour 5 ans à partir de la rentrée 2016.

Et de 31 écoles d'ostéopathie agréées ! En juillet 2015, après une remise à plat de la formation en ostéopathie, le ministère de la Santé avait donné un agrément à une liste restreinte d'écoles pour 5 ans à partir de la rentrée 2015. 20 établissements postbac et 3 établissements ouverts aux professionnels de santé avaient alors obtenu leur précieux sésame, sur 37 dossiers déposés. Des agréments "à titre provisoire" avaient également été délivrés a posteriori à certains d'entre eux.

Retour à la case départ

Huit mois – soit quasiment une année universitaire – plus tard, parfois à l'issue d'une procédure juridique, 8 écoles d'ostéopathie viennent d'être "repêchées". Celles-ci sont agréées pour 5 ans à compter du 1er septembre 2016. Côté formation initiale, il s'agit de Andrew Taylor Still Academy (ATSA), du Centre d'ostéopathie Atman, de l'Institut d'ostéopathie de Bordeaux, du Collège d'ostéopathie du Pays basque (COPB), de l'école Danhier d'ostéopathie, d'OSCAR, école européenne d'ostéopathie du campus privé d'Alsace et d'OSTÉOBIO. Une école agréée, l'Institut de formation supérieure en ostéopathie (IFSO) de Vichy, est destinée aux professionnels de santé.

Plus de places dans les écoles agréées

À la rentrée 2015, les étudiants des établissements recalés l'été dernier avaient pu trouver "refuge" auprès des écoles agréées. Les capacités de formation de celles-ci avaient été augmentées. De nouveau, 7 établissements ont été autorisés à accueillir plus d'élèves : le CIDO, COS Strasbourg, CSO Paris, CSO Toulouse, ESO SUPOSTÉO, ISOGM – IFBO et ITO Toulouse. Une bonne nouvelle pour les "sans école". Mais quid du trop-plein d'ostéopathes diplômés ?

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