Comment choisir parmi les quelque 200 écoles d'ingénieurs existantes ? L’Etudiant vous propose ses deux classements annuels, l’un consacré aux écoles à bac+2, l’autre aux écoles à bac, assortis de gros plans pour trouver les écoles qui correspondent le plus à vos priorités.
Taux de diplômés travaillant dans le secteur de l’énergie (1)
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EOST - Strasbourg | 55 % |
Grenoble INP - ENSE3 | 50 % |
ENSEM - INP Lorraine | 49 % |
ENSGTI - Pau | 45 % |
ENSIC - INP Lorraine | 40 % |
EPF - Sceaux École des mines - Nantes |
33 % |
Grenoble INP - Phelma | 31 % |
ENSI - Bourges | 30 % |
ESSTIN - Nancy | 29 % |
(1) Écoles dont les diplômés 2011 se sont insérés en plus grand nombre dans le secteur de l’énergie.
L’énergie se retrouve tous les jours à la une des journaux. Le prix du pétrole, l’efficacité des énergies vertes et les économies d’énergie sont autant de sujets à la fois pointus techniquement et impactants pour la société.
Secteur porteur, l’énergie attire 10 % des jeunes ingénieurs, qu’ils aient suivi leur formation dans un établissement spécialisé comme l’EOST Strasbourg, ou qu’ils viennent d’une école plus généraliste, comme les Mines de Nantes, qui proposent notamment une option dans le nucléaire.
Zoom sur… l’Ense3
La moitié des jeunes ingénieurs diplômés de l’Ense3 travaille dans le secteur de l’énergie. Cette école du groupe Grenoble INP a fait de la gestion des ressources en eau et en énergie sa spécialité.S’attachant à mêler les aspects techniques et les enjeux de société, elle s’est dotée, sur cette problématique, d’un environnement de recherche particulièrement performant : c’est le cas notamment du centre de formation et d’innovation sur l’énergie Prédis. Dédiée aux “smart grids”, les réseaux de distribution d’électricité intelligents, cette plate-forme installée dans les bâtiments de l’école permet aux étudiants de bénéficier d’outils très sophistiqués au cours de leur cursus.