Pauline, chasseuse de bugs : "Je suis rémunérée en fonction du nombre d'erreurs trouvées"
Pauline, étudiante à Supinfogame Rubika, cherchait un stage. Elle a finalement trouvé un job de testeur de sites et d'applis. Sous statut de micro-entrepreneur, elle est payée au bug trouvé. Un bon plan en relation avec ses études.
De 350 à 400 € par an
"Je cherchais un stage de testeur quality-assurance dans l’industrie du jeu vidéo sur le site de l’AFJV [Agence française pour le jeu vidéo]", explique Pauline, 22 ans, étudiante en M2 à Supinfogame Rubika. Une entreprise spécialisée dans les tests de produits digitaux, Stardust, proposait un poste en freelance.
"J’ai commencé en février 2016. Je travaille en tant que micro-entrepreneur. Je suis rémunérée en fonction du nombre et de l’importance des bugs trouvés." Une erreur rapporte de 6 € à 10 € selon son intérêt. "À la fin de chaque mission, un virement Paypal est directement effectué sur mon compte."
La souplesse : vous décidez de participer ou pas aux missions affichées sur le site concerné, selon votre convenance. C’est un bon plan pour gagner de l’argent de poche et un job potentiellement lié à votre domaine d’études (informatique, jeux vidéo…).
Les moins
Ne vous attendez pas à toucher plus de quelques centaines d’euros par an. Vous êtes en concurrence avec d’autres testeurs qui travaillent sur la même mission : le premier qui remonte un bug obtient la rémunération. Il faut donc être rapide et présent dès le début de la mission.