Reportage

Rencontre avec l’équipage NESCAFÉ® Dolce Gusto® 2016 !

Rencontre avec l’équipage NESCAFÉ® Dolce Gusto® 2016 !
Rencontre avec l’équipage NESCAFÉ® Dolce Gusto® 2016 ! © Dolce Gusto
publié le 12 octobre 2016
5 min

Mathilde et Maxime, 23 ans, ont fait équipe pour le 4L Trophy 2016. Sponsorisés par NESCAFÉ® Dolce Gusto®, les deux étudiants sont partis à l’aventure sur les routes du Maroc, du café et des fournitures scolaires plein le coffre. Retour sur une expérience hors du commun et haute en couleur, à l’image de la marque.

Pourquoi avoir fait équipe ?
Mathilde : Maxime et moi nous sommes rencontrés en classe prépa. On s’entendait très bien et on était dans le même état d’esprit : on aimait le sport et l’aventure. Tentés par le 4L Trophy, on s’est fait la promesse de participer un jour, même si nos chemins étaient amenés à se séparer. Deux ans plus tard, alors que j’étais en région parisienne et lui à Poitiers, on s’est retrouvés sur les routes du Maroc !
Maxime : J’adore Mathilde, c’est quelqu’un de très fort psychologiquement. Quand on a des problèmes, Mathilde, c’est la personne qu’il faut avoir avec soi. C’est avec elle que je me voyais faire l’aventure, je savais qu’elle ne laisserait jamais tomber.

Presque un an plus tard, comment qualifieriez-vous l’aventure en un mot ?
Mathilde : Extraordinaire, même si le mot est peut-être trop simple par rapport à ce que nous avons vécu ! 
Maxime : Surprenante ! Et j’ajouterai qu’on en garde un souvenir magnifique.

Quelle leçon de vie en avez-vous tiré ?
Mathilde : L’aventure est faite de découvertes, de dépassement de soi. J’ai pris conscience de tout ce dont on bénéficie en Europe. Je n’avais jamais fait escale dans un pays en voie de développement et j’ai été confrontée à la réalité. Dans nos petites routines, on a de la chance et beaucoup de confort. Et puis, au-delà de cette prise de conscience, le raid nous apprend à nous débrouiller par nous-mêmes. On en ressort grandis. 
Maxime : Je suis devenu extrêmement patient. Au tout début de l’aventure, nous n’avions pas pu embarquer tout de suite pour le Maroc. Il fallait attendre, sans savoir combien de temps – treize heures en tout – sur le port. Certains équipages s’agaçaient, nous on essayait plutôt d’en rire. J’ai compris que s’énerver ne servait pas à grand-chose et désormais je sais garder mon calme, enfin je crois.

C’était quoi la qualité de l'autre sur le parcours ?                       
Mathilde : L’optimiste ! Maxime est comme ça, il a toujours le sourire, il est rassuré et rassurant !
Maxime : Le courage. Mathilde ne baisse jamais les bras ! 

Et le pire défaut ?
Mathilde : Le défaut de sa qualité ! C’est bien d’être optimiste, mais il ne faut pas être déconnecté de la réalité. Quand je stressais, je ne comprenais pas toujours que Maxime reste aussi zen et confiant, j’avais envie de le secouer.
Maxime : Elle voulait tout le temps conduire, pas facile de partager le volant ! On adore ça tous les deux. Mais on a établi des règles et au final, on a fait 50/50.

Pourquoi NESCAFÉ® Dolce Gusto® était-il le sponsor idéal ? 
Mathilde : 
NESCAFÉ® Dolce Gusto® nous a parfaitement accompagnés. Chaque jour, on réalisait des chorégraphies sur une des musiques de la pub NESCAFÉ® et on invitait les autres équipages à venir danser et boire du café. Ce sont vraiment de bons souvenirs, en plein désert ou sur le port de Tanger. Maxime : Parce qu’ils ont récupéré la 4L à la fin et que nous étions incapables de nous en séparer ! Non plus sérieusement, je répondrais comme Mathilde ! D’excellents moments. 

Une petite anecdote souvenir pour la fin ?
Mathilde : La première panne qu’on a connue ! J’ai eu peur, j’ai cru qu’on n’arriverait jamais. Après 300 kilomètres de route, au tout début, notre courroie de pompe à eau nous a lâchés en Espagne. On n’avait pas de rechange ! Il faisait froid, on faisait coucou à tout le monde avec nos gilets jaunes, tout le monde nous faisait coucou en retour mais personne ne s’arrêtait… Un autre équipage a fini par nous aider !
Maxime : À la recherche de fournitures scolaires, nous passions dans les lycées pour présenter le projet. Une élève me demande : « Mais comment vous allez vous laver ? » Je ne m’étais pas posé la question. Une fois sur l’aventure, sur le campement de Merzouga, première douche aménagée à l’extérieur. J’entends à quelques mètres de moi un jeune couple. La fille crie, surprise que l’eau soit froide. Son compagnon lui répond, ironique, qu’il trouve l’eau plutôt chaude, et moi j’en rajoute une couche. Elle s’attendait à quoi ? Premier gros fou rire !

En partenariat avec NESCAFÉ® Dolce Gusto.

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