Secteur | Environnement |
Niveau d’études minimal | Bac+5 |
Bac conseillé | Général |
Alternance | Oui |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Moyenne |
Salaire débutant | De 2.000 à 2.500 € |
Le “juriste vert” travaille pour le compte de collectivités locales, de grandes entreprises, d’associations ou de compagnies d’assurances. Selon le cas, il met en conformité une industrie avec la législation en vigueur ou, au contraire, en attaque une pour non-respect du droit.
Il est au fait des dernières réglementations environnementales nationales et européennes, et de la jurisprudence qui s’enrichit sans cesse, ce qui complique singulièrement sa tâche.
Ses compétences
Écouter, argumenter, rédiger, conseiller.
Sa formation
Une dizaine d’universités proposent des masters professionnels en droit de l’environnement (par exemple master droit de l’environnement et de l’urbanisme à l’université d’Artois).
Le métier est également accessible avec un DJCE (diplôme de juriste-conseil d’entreprise) ou avec la formation d’ingénieur-juriste en environnement de l’Institut supérieur de l’environnement, à Trappes (78).