5 (gros) inconvénients à vivre encore chez ses parents

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Publié le 22/02/2016 par TRD_import_LaurenMezière , Mis à jour le 02/10/2023 par TRD_import_LaurenMezière
Vous avez choisi de rester vivre chez vos parents plutôt que de connaître la galère des colocs surchargées et des cités U vétustes ? Tant mieux pour vous. Bien que… Nous voyons au moins cinq arguments qui pourraient vous faire regretter de ne pas vous être émancipé(e).

Vous esquissez un sourire ironique à la pensée de ces pauvres étudiants entassés dans leur cité U, pendant que votre chère maman vous mitonne un bon petit plat pour vous donner du courage ? Vivre chez ses parents a beau avoir bien des avantages, ne vous réjouissez pas trop vite : il arrivera un jour où vous ne pourrez pas vous empêcher de regretter certains des aspects de votre vie d’étudiant libre. Vous ne voyez vraiment pas pourquoi ? Attendez un peu…

1. Le jour où vous voudrez partager un peu plus qu’un bisou au cinéma avec votre chéri(e)

Et que vous vous rendrez compte que, même si vos parents sont plutôt gentils, ils ne le sont pas au point de permettre à l’amour provisoire de votre vie de partager votre chambre sept nuits sur sept.

2. Le jour où vous vous retrouverez aux rattrapages pour la troisième fois consécutive

Et qu’après une longue salve de harcèlement autour de la table du dîner, votre père sortira finalement son marteau et trois grosses planches pour vous cloîtrer dans votre chambre. Pendant ce temps, votre mère aura déconnecté la console, sorti la télé, vidé les mangas et vous vous retrouverez seul(e) face à vos livres. Avec un peu de chance, vos géniteurs attentifs auront prévu une trappe pour vous glisser une assiette trois fois par jour.

3. Le jour (très proche) où vous vous rendrez compte que vos parents habitent beaucoup trop loin de la fac

Vous n’aviez pas prévu de vous inscrire au prochain triathlon universitaire ? Dommage, parce qu’en vivant à 35 km de la fac, vous devriez très vite développer votre talent pour la course, le saut d’obstacle, voire la natation pour les plus malchanceux. Tout ça pour réussir à attraper le bus/métro/RER après une énième panne d’oreiller…

4. Le jour où vous comprendrez que vos parents s’étaient faits à l’idée de vivre à nouveau à deux

Peut-être même avaient-ils prévu une seconde lune de miel, ou une super-fête avec LEURS amis. Seulement voilà, vous vous êtes incrusté(e). Depuis, votre mère regarde « Tanguy » en pleurant tous les soirs et votre père laisse traîner devant votre porte les petites annonces pour des locations de chambres de bonne. Oui, vos parents vous aiment, mais l’idée de retrouver un semblant d’intimité et de vie de couple ne leur était pas si désagréable, au final.

5. Le jour où vous emménagerez dans votre chez vous

Et que vous vous apercevrez que vous ne savez pas faire fonctionner le lave-linge, que vous n’avez jamais repassé une chemise et que vos talents pour la cuisine se limitent à ouvrir un paquet de pâtes. Vivre sans vous préoccuper de rien a sans doute plus d’une vertu, mais nous ne saurions trop vous conseiller d’anticiper un minimum sur votre indépendance future. En apprenant par exemple quelques astuces de nettoyage et de cuisine, au risque d’attraper le scorbut et la malaria après deux semaines de vie en solitaire.