Bavard, indiscret, pot-de-colle : ces colocs qu’on préférerait éviter

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Publié le 18/03/2018 par TRD_import_MariaPoblete ,
Trop envahissants, trop bruyants, trop peu investis dans les tâches ménagères… La vie en collectivité vous impose parfois des colocs pas faciles à vivre. Tour d’horizon des profils dont on pourrait très bien se passer.

Celui qui oublie systématiquement de remplacer le papier toilette

« Nous vivons à quatre filles et nous sommes hyper organisées, dit Lola, 21 ans. Nous ne manquons jamais de rien, ni dans le frigo, ni dans la salle de bains, mais voilà, notre faiblesse, c’est le rouleau qui est toujours laissé vide sur le porte papier toilette. Chacune a l’impression que c’est elle qui le change à chaque fois. C’est un peu problématique… » Et pourtant, des dizaines de rouleaux sont à quelques centimètres, prêts à être installés… *

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Conseil : affichez des Post-it « Penser à remplacer le PQ ».

Celle qui mange toujours bruyamment

« Slurp, sluuurp, scrunch, scrotch, slurp ! » Votre coloc a tendance à manger bouche ouverte, en faisant du bruit et en en mettant partout… Beurk. « C’est très désagréable ! Quand on dîne ensemble, je regarde ailleurs. Je vais soit m’habituer, soit péter un câble ! », se plaint Paloma, 18 ans. *

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Piste : laissez traîner le dernier ouvrage de la baronne de Rothschild sur les bonnes manières…

Celui qui jacasse

« Le matin, je suis pire qu’un ours qui sort d’hibernation. Il ne faut pas me parler, ni me toucher, ni même soupirer à côté de moi, avoue Matéo, 19 ans. Inversement, mon coloc est frais comme en plein après-midi. Il écoute la radio, commente les infos, détaille ses cours, parle, parle, parle… » *

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La parade anti-plombage de journée : avancer ou reculer l’heure du petit déj.

Celui qui laisse pourrir les restes

« On a un problème avec les restes à la maison, raconte Lola. Personne ne pense à enlever les boîtes Tupperware du frigo. Ça part d’un bon sentiment – ne pas jeter –, mais ça pourrit pendant des semaines et, au final, c’est moi qui dois jeter et récurer. » *

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Suggestion : instaurer des tours de nettoyage du frigo ?

Celle qui adore (trop) tes fringues

Ce petit haut qui vous va si bien, ces collants canons, la veste qui sort du pressing… C’est comme ça : les vêtements qu’on préfère sont toujours ceux qui disparaissent à quelques heures d’une soirée, généralement « empruntés » la veille par cette coloc qui ne vous a surtout pas prévenue… *

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Solution n°1 : aucune. Solution n°2, plus radicale : cadenassez votre dressing.

Celui qui n’est vraiment pas discret

Votre coloc est incapable de discrétion, on dirait qu’il a été élevé au sein d’un troupeau d’éléphants ! « Ses grosses chaussures bien lourdes font un boucan d’enfer, soupire Lucien, 22 ans. Impossible pour lui d’être discret, surtout quand il rentre bourré à 3 h du matin alors que j’ai cours le lendemain super tôt. »

Idée : lui offrir des charentaises.

Celle qui est trop « fusionnelle »

« On vivait à trois avec mon petit ami et cette copine, se souvient Judith, 26 ans. Quand elle rentrait et qu’on était couchés, elle venait nous embrasser dans notre lit pour nous souhaiter « bonne nuit ». On était nus, dans notre intimité. C’était hyper gênant. » *

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Note à vous-même : accrocher une pancarte de porte « Ne pas déranger » !

Celui qui est bordélique

« Je suis à cheval sur l’ordre et l’esthétique, soupire Jeanne, 19 ans, actuellement en colocation avec 6 autres personnes. Je n’aime pas trop voir la console de jeux traîner sur la table basse et les fils électriques qui envahissent le salon. Ça m’énerve, mais à un point ! » *

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Suggestion : pour ne pas avoir l’impression d’être la maman des autres, jouez franc jeu et dites que ça vous dérange. Suggestion de repli : filez dans votre chambre en vous connectant sur petitbambou.com. Dix minutes de méditation, et hop, on voit la vie en rose !

Vous aussi, faites-nous part des caractéristiques de ces colocs qui vous énervent le plus en mettant un commentaire ci-dessous, ou via notre compte Twitter @TrendyLetudiant.