Reconnaître un étudiant syndiqué : le jeu des 7 indices

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Crédit photo : meltygroup
Publié le 30/06/2014 par TRD_import_SamanthaCorti ,
Oui, oui, m eme dans le monde etudiant, il existe des syndiques qui defendent avec ardeur la cause. Et ça peut etre utile pour vous de les contacter, *que vous ayez besoin qu'ils vous renseignent ou que vous ayez envie vous aussi d'adh erer. Alors voici des petits trucs pour vous aider a les reperer ! *

Indice #1 : c’est le premier à s’enflammer lors d’un débat

Être syndiqué ne signifie pas de facto que l’on s’enflamme pour un rien. Néanmoins, il faut avouer que souvent, quand un débat se forme, c’est le premier à faire entendre sa cause avec vivacité. Pour le meilleur et pour le pire.

Indice #2 : il se lève plus tôt que les autres pour aller tracter devant votre fac

C’est l’un des passages obligatoires pour un syndiqué digne de ce nom. Se lever aux aurores pour préparer les tracts, aller à la fac plus tôt histoire de faire la distribution à un maximum de personnes et enfin distribuer, distribuer, distribuer.

Indice #3 : il passe tout son temps libre en « réunion »

Même si cela lui tient à cœur, il y a des jours où il se passerait bien de la énième réunion organisée par le syndicat auquel il a adhéré. Mais pas le choix, aujourd’hui entre midi et deux, c’est sandwich triangle et réu en salle B200.

Indice #4 : il porte tous les jours les couleurs de son syndicat

Représenter les couleurs de son syndicat, c’est important. Alors jamais sans son pull au motif de l’organisation. Syndiqué un jour, syndiqué toujours !

Indice #5 : il connaît tout le monde à la fac

Pour le coup, il y a bien une chose que personne ne peut nier, c’est qu’il en connaît du monde dans votre fac. Des « bonjour » interminables tous les matins, des « au revoir » qui durent trois plombes et dont il se passerait bien après une sale journée. Ah… la gloire, qu’est-ce que vous voulez !

Indice #6 : c’est le premier à aider tout le monde, à tel point qu’il passe à côté de sa propre année

Être présent, répondre à n’importe quelle interrogation, c’est un peu son dada. Mais pour le coup, il y a des moments où il se dit qu’à force d’être TOUT LE TEMPS à l’affut, il passe à côté de sa propre année…

Indice #7 : il s’oblige à détester les autres syndicats pour aimer exclusivement le sien

C’est peut-être la règle d’or d’un bon syndiqué qui se respecte : détester son adversaire, pour défendre son syndicat, à la vie à la mort. Tout ça reste évidemment bon enfant. Une guéguerre devenue « traditionnelle ».