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Idée reçue : l’apprentissage est une voie de garage pour les mauvais élèves

Par Jeanne Levavasseur, publié le 22 janvier 2018
1 min

Il y a quelques années, l’alternance était considérée comme un mode de formation de seconde zone réservé aux mauvais élèves incapables de rester plus de 5 minutes d’affilée face à un tableau noir… Aujourd’hui, à l’inverse, elle est de plus en plus souvent présentée comme la solution miracle pour lutter contre le chômage des jeunes, et attire de plus en plus d'élèves avides de concret. Où est le faux, où est le vrai ? Nos réponses.

FauxFAUX

Les cursus en alternance ont longtemps eu une image de formations "au rabais", de voie de garage pour mauvais élèves. Dans les faits, l’alternance s’adresse à des jeunes motivés, attirés par le monde de l’entreprise et prêts à s’investir à 100 %.

En contrat d’apprentissage comme en contrat de professionnalisation, les alternants doivent s’attendre à travailler beaucoup. La contrepartie non négligeable de leurs efforts se trouve dans le fait qu'ils ne paient pas leurs études, perçoivent un salaire, tout en se forgeant une solide expérience professionnelle.

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