Pascal Olivard avait pourtant annoncé dans un communiqué daté du 30 mars : "Il me paraît nécessaire que M. David puisse être jugé par ses pairs. Aussi, après avoir étudié les possibilités qui s’offraient à moi, j’ai pris la décision de saisir une section disciplinaire compétente à l’égard des enseignants-chercheurs afin de clarifier la responsabilité de M. Pascal David".
Un spectaculaire virage de Pascal Olivard
Dans son mail du 14 avril, Pascal Olivard effectue un spectaculaire virage à 180 degrés : "S’il est indéniable que des erreurs ont été commises, il n’en reste pas moins qu’elles ne peuvent être assimilées, selon nos analyses, à des fautes professionnelles. Aussi ai-je pris la décision de ne pas saisir de section disciplinaire à l’encontre de notre collègue".
Il justifie cette volte-face en affirmant qu’il lui avait d’abord fallu agir dans "l’urgence pour protéger notre université et notre collègue".