Tandis qu'un palmarès des universités françaises vient de sortir, Michel Lussault , président de PRES lyonnais, poursuit sa réflexion sur les classements dans une série de billets intitulés "Classer/Penser".
"En matière de considération des classement et de palmarès, il y a trois attitudes extrêmes inconciliables qui me paraissent relativement improductives", écrit l'ancien président de l'université François-Rabelais de Tours.
Lire la suite dans son billet Classer/Penser (?) 2
Les classements dans la newletters de la CPU
Dans la lettre en ligne de la CPU (conférence des présidents d'université), Ghislaine Filliatreau, directrice de l’OST (Observatoire des sciences et des techniques), est interviewée à propos des classements dans l'enseignement supérieur et la recherche.
"Les classements doivent cesser d’être considérés comme des outils permettant de dire qui est « meilleur » que qui. Ils doivent être conçus et utilisés comme des outils descriptifs d’information et d’orientation. Les classements actuels devienennt donc multicritères et personnalisables, c’est-à-dire adaptables à chaque attente", estime-t-elle.
Lire aussi une interview de Ghislaine Filliatreau sur Educpros : « En matière de ranking, il y a encore beaucoup à explorer »
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