La Conférence des grandes écoles s’ouvre (un peu plus) à l’international

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Trois établissements étrangers, deux situés au Maroc et un au Burkina Faso, rentrent à la CGE (Conférence des grandes écoles). Une première pour des établissements africains. L’École Hassania des travaux publics de Casablanca , l’INPT (Institut national des postes et télécommunications) de Rabat et 2IE (Institut international d’ingénierie de l’eau et de l’environnement) de Ouagadougou viennent d’être admis. Pour les trois établissements, cette intégration est synonyme de label d’excellence.

Congrès au Maroc

Pour l’association, il s’agit d’un nouveau signe d’ouverture à l’international, après le choix de la ville de Rabat, au Maroc, comme siège de son prochain congrès, en octobre 2008. Au total, la CGE compte aujourd’hui douze membres étrangers* contre environ…180 membres français. L’ouverture à l’international en est donc à ses balbutiements.

Trois nouvelles écoles françaises

Côté français, trois écoles d'ingénieurs - l'ENSIIE (École nationale supérieure d'informatique pour l'industrie et l'entreprise), l'Ensisa (École nationale supérieure d'ingénieurs Sud Alsace) et l'Esitc (École supérieure d'ingénieurs des travaux de la construction de Caen) - viennent d'être admises à la CGE.

*Les neuf autres membres non français de la CGE sont : l’École Polytechnique de Montréal (Canada), HEC Montréal (Canada), la Faculté des sciences agronomiques de Gembloux (Belgique) ; deux écoles de l’Université libre de Bruxelles : l’École de commerce Solvay et l’École polytechnique (Belgique) ; l’Université catholique de Louvain-la-Neuve (Belgique) ; HEC à Lausanne (Suisse), l’Université polytechnique de Madrid (Espagne) et l’Université technique de Lisbonne (Portugal).

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