Face à la mobilisation des écoles d’art, l'aide de deux millions d'euros du ministère de la Culture ne convainc pas
Face aux difficultés financières, les écoles d'art publiques vont-elles fermer les unes après les autres ?
S. André (Rubika) : "L’association nous permet d’avoir une indépendance financière et d’augmenter nos moyens humains"
M. Sellam (Ionis Education Group) : "Une logique de transparence et d'exigence nous a toujours guidés"