Comment s'insèrent les titulaires de masters de votre fac ou celle que vous visez ? Quelle part de CDI parmi eux ? Avec quels salaires débutent-ils leur carrière ? Université par université, découvrez, en infographies interactives, ce que deviennent les diplômés de M2.
Vous êtes en master et vous aimeriez connaître le devenir des diplômés de votre fac ? Vous envisagez d'en préparer un l'an prochain, et vous voulez connaître cette info pour les universités que vous visez ? Nos infographies interactives – établies à partir de l'enquête annuelle menée par le ministère de l'Enseignement supérieur sur l'insertion des titulaires de masters deux ans et demi après le diplôme – vont vous y aider.
Elles vous permettent en effet de comparer le taux d'emploi ainsi que la part de CDI (contrats à durée indéterminée), la part d'emplois à temps plein, le taux de cadres ainsi que le salaire des diplômés de M2, entre les facs, mais également à l'échelle d'une même université, entre les domaines d'études.
40 % des diplômés continuent leurs études après le M2
Nos graphiques s'appuient sur l'enquête d'insertion parue fin 2013. Elle ne porte que sur les diplômés français, en formation initiale, entrés sur le marché du travail à l'issue de leur diplôme de 2010, soit 39 % des titulaires de masters (lire notre méthodologie). Ceux ayant poursuivi leurs études après un M2 – près de 40 % des diplômés français qui ont décroché ce diplôme en formation initiale ! – ne sont pas concernés. Ceux-là ont pu continuer en doctorat, ou ailleurs : mais de cela, l'enquête ne dit rien...
À noter : pour certaines universités, le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie.
Quelle insertion après mon master ? Cliquez sur la fac qui vous intéresse pour accéder à ses données.
Méthodo : les 5 indicateurs de notre choix de l'insertion après un master • Le taux d'insertion (indicateur 1) : il représente le pourcentage des diplômés occupant un emploi, quels qu'ils soient, sur l'ensemble des diplômés présents sur le marché du travail. Sa différence par rapport à 100 % représente donc le taux de chômage. Une famille de masters ayant un taux d'insertion de 90 % connaît dont un taux de chômage de 10 %, deux ans et demi après leur diplôme. Le taux de chômage régional 2012 est signalé dans chaque graphique, pour vous permettre de comparer. • La part de cadres et de professions intermédiaires (indicateur 2) : elle représente le pourcentage de personnes exerçant un emploi de type ingénieur, cadre, profession libérale, personnel de la catégorie A de la fonction publique. Ce sont les emplois qu'il est d'usage d'exercer avec un bac+5. Mais il tient aussi compte des emplois intermédiaires de type technicien, agent de maîtrise, personnel B de la fonction publique, etc., qu'on occupe d'habitude après un bac+2 ou 3. L'enquête ne fait malheureusement pas la différence entre ces deux catégories d'emploi. Au niveau national, on sait qu'environ un quart des personnes représentées par cet indicateur occupent un emploi intermédiaire, mais ce chiffre varie selon les facs et les spécialités. En revanche, la différence entre cet indicateurs et 100 % représente la part de personnes très déqualifiées par rapport à un bac+5 : employé de bureau, de commerce, personnel de service, ouvrier ou personnel C de la fonction publique. Tous ces emplois n'exigent au maximum que le niveau bac. Une famille de masters ayant donc une part de cadres et de professions intermédiaires de 90 % comporte donc 10 % de diplômés très déqualifiés, deux ans et demi après leur diplôme. • La part d'emplois stables (indicateur 3) : il représente le pourcentage de diplômés en CDI, les fonctionnaires, les professions libérales, indépendantes et les chefs d'entreprises. Les autres occupent un emploi précaire : CDD, vacataires, intérimaires, etc. • La part d'emploi à temps plein (indicateur 4) : celui-ci peut dépendre des débouchés de chaque famille de masters. En effet, certains secteurs et certaines professions emploient plus de personnes vacataires ou à temps partiel que d'autres. • Le salaire annuel brut (indicateur 5) : ce dernier est calculé à partir du salaire mensuel net, primes comprises, correspondant aux valeurs médianes sur les emplois à temps plein.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université d'Amiens.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université des Antilles.
Moins de 50% de données Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université d'Artois.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université d'Avignon.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Besançon.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Brest.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Bretagne-Sud.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Caen.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Cergy-Pontoise.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Chambéry.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de CUFR Champollion.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Clermont 2.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Corse.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Dijon.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université d'Évry.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de La Réunion.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de La Rochelle.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université du Havre.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université du Mans.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Limoges.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Littoral-Côte d'Opale.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Mulhouse.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Nice.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Nîmes.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université d'Orléans.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Pau.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Perpignan.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Poitiers.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Reims.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Rouen.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Saint-Étienne.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Toulon.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Tours.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.
Les résultats ayant été considérés comme "fragiles" par le ministère, nous n'avons pas établi d'infographie pour l'université de Paris 2 – Panthéon-Assas.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Paris 3 – Sorbonne-Nouvelle.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Paris 5-Descartes.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Paris 8.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Paris 10-Nanterre.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Paris 12 – Paris-Est-Créteil.
Les résultats ayant été considérés comme "fragiles" par le ministère, nous n'avons pas établi d'infographie pour l'université de Paris 13 – Paris-Nord.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Rennes 2.
Le taux de réponse au ministère ayant été trop faible (moins de 50 % de données significatives), nous n'avons pu établir d'infographie pour l'université de Toulouse 2.