Décryptage

6 idées reçues sur les écoles de commerce internationales

Proposé par CEFAM

6 idées reçues sur le CEFAM
6 idées reçues sur le CEFAM © CEFAM
Par L'Etudiant Fab, publié le 08 février 2022
7 min

On dit souvent que les clichés ont la vie dure. Ceux qui concernent les business schools ne font pas exception ! Les formations qui y sont dispensées représentent, au contraire, une chance unique dans la vie d’un étudiant qui se destine à travailler à l’international. Zoom sur les idées reçues qui collent à la peau de ces écoles.

Il est difficile d’intégrer une école de commerce internationale

Être titulaire d’un baccalauréat mention « très bien », être parfaitement bilingue ou encore arborer une scolarité exemplaire à tous les niveaux, voilà quelques-uns des clichés les plus souvent énoncés lorsqu’il est question d’intégrer une business school. Si bien sûr l’admission se fait via un concours d’entrée, celui-ci se veut pensé pour mettre en valeur les individus plutôt que leur dossier scolaire.

D’ailleurs, certaines écoles proposent un coaching personnalisé pour préparer le concours d’admission et accompagner les élèves lors de leur future rentrée. C’est par exemple le cas du CEFAM (Centre d’études franco-américain de management), qui prévoit des cours de renforcement en anglais ou en mathématiques pour les élèves souhaitant se perfectionner et débuter les études supérieures en toute sérénité.

Les frais de scolarité sont onéreux

Contrairement à l’université publique, les écoles privées représentent parfois un coût important. Toutefois, il est nécessaire de nuancer ce constat. D’une part, il existe de nombreux avantages propres à ce genre d’établissements (petites promotions, réseau professionnel, etc.). D’autre part, des aides sont apportées aux étudiants aux revenus les plus modestes afin de financer leurs frais de scolarité (bourses, partenariats bancaires facilités dans les modalités et les échelonnements de paiement, etc.)

Dans le même ordre d’idées, notez que certaines business schools proposent des solutions souples et innovantes pour accompagner leurs étudiants. Au CEFAM, les frais de scolarité dépendent directement du nombre de modules souscrits. Cela offre une liberté appréciable pour composer son emploi du temps en fonction de sa situation personnelle, notamment si l’on a un job étudiant en parallèle. Une solution de formation qui permet d’avancer à son propre rythme académique et selon sa capacité financière, qui elle aussi peut être évolutive.

Réaliser une année à l’étranger n’est pas sûr à 100 %

Par essence, intégrer une école de commerce internationale est synonyme de voyage à l’étranger. Outre les cours centrés sur le marketing, l’économie ou le management, la composante internationale est omniprésente tout au long du parcours de formation. Et quoi de mieux que de passer une année à l’étranger pour expérimenter cette dimension de la meilleure des manières ?

Ce n’est donc pas un hasard si chaque business school met en avant des partenariats auprès d’universités un peu partout dans le monde. Si l’on prend le cas du CEFAM, les étudiants ont la possibilité d’effectuer une à deux années outre-Atlantique au sein d’une université américaine accréditée AACSB (le plus grand label de référence à l’international).

Bien entendu, la décision de partir vivre une année à l’étrange appartient à chacun, mais il serait dommage de se priver d’une occasion aussi unique !

Les diplômes ne sont reconnus qu’en France

S’il est vrai que la reconnaissance d’un diplôme par un autre pays est parfois compliquée, les écoles de commerce internationales ne sont pas vraiment concernées par cette problématique. En effet, il paraît difficile d’attirer des étudiants qui se destinent bien souvent à travailler à l’étranger une fois leur diplôme en poche si ce dernier n’est pas reconnu en dehors des frontières du pays !

Concernant la reconnaissance des diplômes, le CEFAM a vu les choses en grand. Au-delà du titre certifié niveau 7 par l’État obtenu en France, le grand intérêt du double diplôme franco-américain réside dans sa reconnaissance à l’international. En effet, les universités américaines partenaires du CEFAM sont accréditées par l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), qui n’est autre que le « label de référence » pour les écoles de commerce dans le monde.

Les débouchés sont minces

À l’heure où la maîtrise de l’anglais est indispensable sur le marché de l’emploi, être bilingue et titulaire d’un diplôme reconnu à l’international est un véritable atout. De plus, les enseignements dispensés au sein des business schools évoluent constamment pour s’adapter et répondre aux nouvelles exigences requises par des entreprises toujours plus digitalisées.

En outre, il est à noter que les écoles de commerce internationales peuvent se vanter d’un taux d’employabilité particulièrement élevé au sortir des études. Et ce ne sont pas les statistiques récoltées par le CEFAM qui viendront affirmer le contraire. En moyenne, trois mois suffisent à un étudiant fraîchement diplômé pour décrocher un job dans des secteurs aussi variés que l’IT, les ressources humaines ou encore l’audit ou la finance.

Le parcours de formation est long

Aujourd’hui, la poursuite d’études supérieures jusqu’à un niveau bac +4 ou bac +5 est accessible à de plus en plus de monde et se normalise peu à peu. Il est donc logique qu’une business school propose des cursus s’étalant sur quatre, cinq ou six années en fonction du parcours souhaité, en plus de la possibilité de profiter d’une année de césure. Toutefois, notez qu’intégrer le monde du travail est tout à fait envisageable suite à l’obtention d’un Bachelor ou après une première année de mastère.

Dans certaines écoles de commerce comme le CEFAM, il est même possible de personnaliser son parcours de formation afin de se soulager d’un emploi du temps trop chargé. Un excellent moyen d’avancer à son rythme tout en construisant son projet professionnel.

Il est difficile de se construire un bon réseau au sein d’une « petite » école

Les avantages d’intégrer une business school à taille humaine sont nombreux. Outre la proximité avec les enseignants et le cadre de travail privilégié, c’est l’opportunité de bénéficier d’un réseau bien établi. Ainsi, il est bien plus facile d’entrer en contact avec les alumni ou de trouver une alternance auprès des entreprises affiliées que dans une école plus impersonnelle.

De la même manière, gardez en tête que vous pouvez bénéficier d’un solide réseau à l’échelle internationale via les universités partenaires. À titre d’exemple, une « petite » école comme le CEFAM peut s’appuyer sur la notoriété de la Northeastern University, qui compte 245 000 alumni à travers 164 pays et occupe la 27e place au classement de Shanghai. Les universités américaines ont le savoir-faire pour que chaque alumni puisse être ambassadeur de son université, où qu’il soit dans le monde, et qu’il puisse ainsi développer un réseau professionnel et amical à l’échelle internationale.

Bien que le CEFAM soit extérieur au réseau Parcoursup, vous avez la possibilité de prendre les devants en découvrant, dès à présent, les multiples avantages proposés par cette école à taille humaine qui met le développement personnel de ses étudiants au centre de son projet pédagogique. Et si vous faisiez le test pour en avoir le cœur net ?

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