6 idées reçues sur le CEFAM

Par L'Etudiant Fab, publié le 14 Decembre 2021
7 min

On dit souvent que les clichés ont la dent dure et ceux sur le Centre d’Études Franco-Américains de Management (CEFAM) ne font pas exception ! Les formations dispensées représentent, au contraire, une chance unique dans la vie d’un étudiant qui se destine à travailler à l’international. Focus sur les idées reçues qui collent à la peau de cette école franco-américaine.

Il est difficile d’intégrer le CEFAM

Être titulaire d’un baccalauréat mention très bien, être parfaitement bilingue ou encore arborer une scolarité exemplaire à tous les niveaux, voilà quelques-uns des clichés les plus souvent énoncés lorsqu’il est question d’intégrer le CEFAM. Si bien sûr l’admission se fait via un concours d’entrée, celui-ci se veut accessible et pensé pour mettre en valeur des individus plutôt que des dossiers scolaires. De plus, un coaching personnalisé pour préparer ce concours est proposé aux étudiants qui en font la demande et des cours de renforcement en anglais et/ou en mathématiques sont prévus pour tous ceux qui souhaitent se perfectionner et attaquer les études supérieures en toute confiance.

Les frais de scolarité sont onéreux

Contrairement à l’université publique, les écoles privées peuvent représenter un coût important. Toutefois, il est nécessaire de nuancer ce constat à travers tous les avantages propres à ce genre d’établissements (petites promotions, réseau professionnel, etc.) d’une part, mais aussi, et surtout, sur les frais de scolarité en tant que tels. Pour permettre aux étudiants aux revenus les plus modestes de financer leurs études, les universités partenaires du CEFAM proposent des bourses, des partenariats bancaires et des facilités dans les modalités et échelonnements de paiement. Dans un même ordre d’idées, les frais de scolarité dépendent directement du nombre de modules souscrits par les étudiants. Cela offre une liberté appréciable pour composer son emploi du temps en fonction de sa situation personnelle, notamment si l’on a un job étudiant en parallèle. Une solution de formation qui permet d’aller à son rythme académique et selon sa capacité financière qui elle aussi peut être évolutive.

À noter par ailleurs que le CEFAM est une des dernières institutions « indépendantes » en France, une association loi 1901 à but non lucratif. Le CEFAM n’appartient pas à un groupe d’investisseurs, ce qui permet un maintien de l’excellence académique et des frais de scolarité raisonnables. Une école à taille humaine où chaque apprenant est au cœur du dispositif pour le conduire à la réussite.

Réaliser une année aux USA ou au Canada n’est pas sûr à 100%

Si le CEFAM signifie « Centre d’Études Franco-Américains de Management », ce n’est pas qu’une « Baseline » dénuée de sens. Tous les étudiants qui intègrent l’école ont, en effet, la possibilité d’effectuer une à deux années outre-Atlantique au sein d’une université américaine accréditée AACSB. L’AACSB est le plus grand label de référence à l’international (moins de 5% des programmes de Business dans le monde ont cette prestigieuse accréditation).

Cette garantie unique offerte par le CEFAM – qui est en mesure de placer l'intégralité de ses étudiants dans ses 9 universités partenaires – reste cependant à la décision de chacun. En effet, tout étudiant peut décider s’il le souhaite de rester sur les bancs de l’école lyonnaise durant l’intégralité de son cursus, même s’il sera vivement – et logiquement – encouragé à tenter l’aventure américaine. Il serait dommage de se priver d’une occasion aussi unique.

Les diplômes ne sont reconnus qu’en France

Concernant la reconnaissance des diplômes, le CEFAM a vu les choses en grand. Au-delà du titre certifié niveau 7 par l’État obtenu en France, le grand intérêt du double diplôme franco-américain réside dans sa reconnaissance à l’international. En validant votre BBA d’une université accréditée par l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), vous êtes tout simplement en possession d’un diplôme reconnu comme étant le « label de référence » parmi l’ensemble des écoles de commerce au monde.

Les débouchés sont minces

À l’heure où la maîtrise de l’anglais est sans aucun doute, indispensable sur un marché de l’emploi où les frontières entre marketing, data, finance et autres domaines étudiés au CEFAM s’amincissent, il semble inapproprié de parler d’absence de débouchés. Et ce ne sont pas les statistiques récoltées par l’école qui viendront affirmer le contraire, notamment quand on sait qu’il suffit en moyenne de 3 mois pour un étudiant fraîchement diplômé pour décrocher un job dans des secteurs aussi variés que l’IT, les ressources humaines ou encore l’audit ou la finance. Par ailleurs, le CEFAM met l’accent sur la construction du projet professionnel de ses étudiants tout au long de leur cursus.

Le parcours de formation est long

Aujourd'hui, la poursuite d’études supérieures jusqu’à un niveau bac +4 ou bac +5 est accessible à de plus en plus de monde et se normalise peu à peu. Il est donc logique qu’une business school comme le CEFAM propose des cursus s’étalant sur 4, 5 ou 6 années en fonction du parcours souhaité, en plus de la possibilité de profiter d’une année de césure. Afin de soulager les étudiants d’un emploi du temps trop chargé et de s’inscrire davantage dans une formation personnalisable, rappelons que ceux-ci peuvent choisir de moduler leur emploi du temps. À ce titre, sachez également qu’une insertion professionnelle est tout à fait envisageable dès la 4e année, de quoi satisfaire les étudiants les plus impatients à l’idée de vivre leur propre American Dream !

C’est une « petite » école…

En étant diplômé du CEFAM et d’une université américaine partenaire, vous devenez un « alumni » à part entière. C’est donc un réseau à l’échelle internationale que vous intégrez avec des contacts d’alumni qui se comptent par milliers ; pour exemple : Northeastern University : 245 000 alumni dans 164 pays ; Northeastern University qui occupe la 27ème meilleure place au classement de Shanghai. Les universités américaines ont le « savoir-faire » pour que chaque alumni puisse être ambassadeur de son université, où qu’il soit dans le monde et ainsi développer un réseau professionnel et amical à l’échelle internationale.

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