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Idée reçue : l’alternance, ce n'est pas pour les filles

Par Jeanne Levavasseur, publié le 22 janvier 2018
1 min

Il y a quelques années, l’alternance était considérée comme un mode de formation de seconde zone réservé aux mauvais élèves incapables de rester plus de 5 minutes d’affilée face à un tableau noir… Aujourd’hui, à l’inverse, elle est de plus en plus souvent présentée comme la solution miracle pour lutter contre le chômage des jeunes et attire de plus en plus d'élèves avides de concret. Où est le faux, où est le vrai ? Nos réponses.

FauxFAUX

Les filles sont toujours minoritaires dans l'apprentissage : 38 % des effectifs fin 2016. Mais plus on monte dans le niveau des diplômes préparés, plus la parité se rétablit, jusqu'à atteindre 47 % des alternants au niveau II, c’est-à-dire bac+3 et bac+4. Source : Élèves et apprentis, DEPP (Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, ministère de l'Éducation nationale), octobre 2017.

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