Décryptage

Avec Le Quatre et Créa360, l’ISCOM façonne les créatifs de demain

Proposé par ISCOM

Avec Le Quatre et Créa360, l’ISCOM façonne les créatifs de demain
Avec Le Quatre et Créa360, l’ISCOM façonne les créatifs de demain © Aurelien_Avril
Par L'Etudiant Fab, publié le 26 avril 2021
8 min

À l’ISCOM, la troisième année est celle de la spécialisation. Pour les étudiants les plus créa-tifs, direction l’une des deux filières dédiées : Le Quatre ou Créa360. Deux pôles différents, mais qui se rejoignent sur l’importance accordée à la pratique.

Le programme grandes écoles « Manager de la marque » de l’ISCOM, l’Institut Supérieur de Communication et de publicité, forme les futurs professionnels de la communication. Un parcours accessible dans huit villes de France, après obtention du bac ou en admission parallèle à bac +2, bac +3, bac +4 ou bac +5.
En cinq ans, les étudiants deviennent des professionnels agiles, capables à la fois de s’adapter aux mutations du secteur, de développer une vision stratégique et de mobiliser des compétences opérationnelles.
Le parcours commence par un tronc commun de deux ans mêlant communication, marketing, stratégie et création. En troisième année, les étudiants choisissent une spécialité qui va les mener jusqu’en cinquième année. Pour les étudiants créatifs, il s’agit alors de s’orienter vers l’une des deux filières créatives de l’école : Le Quatre ou Créa360.
« Le Quatre est concentré sur la formation à un métier créatif unique qui se divise lui-même en deux métiers : concepteur-rédacteur et directeur artistique. C’est ce qu’on appelle la team publicitaire », livre Olivier Desmettre, le directeur du Quatre. Créa360, de son côté, forme les stratèges de la création. Elle concerne des profils qui souhaitent garder une vision globale et créative en associant réflexion stratégique et production de contenus sur différents supports. « On est dans le craft, alors qu’au Quatre, on est plus dans l’idée », résume Julie Aveline, responsable du programme Créa360.

Le Quatre, l’école 100 % création de l’ISCOM

Commençons par répondre à la question que vous vous posez sûrement : pourquoi Le Quatre ? Un chiffre porte-bonheur ? Un hommage au chorégraphe Bruno Vandelli et à ses quatre couleurs primaires (direction YouTube si vous n’avez pas la référence) ? Rien de tout ça ! « L’ISCOM se trouve au 4 cité de Londres, on est au quatrième étage du bâtiment et la première rentrée a eu lieu le 4 septembre 2019 », sourit Olivier Desmettre. Eh oui, être créatif, c’est aussi savoir aller à l’essentiel !
Objectif du Quatre : former les étudiants aux métiers de la création en leur apprenant à communiquer sur tous les médias (TV, print, radio, digital et réseaux sociaux) et à maîtriser les techniques de conception-rédaction et les différents logiciels dédiés au graphisme et au mixage.
Pour y parvenir, Le Quatre mise sur la pratique et sur le réseau de son responsable, ancien directeur de la création au sein de Publicis Conseil (forcément, ça aide !) : « La création ne s’apprend pas, elle se développe au quotidien. C’est pourquoi les étudiants du Quatre travaillent avec une agence pratiquement toutes les semaines. Ils planchent sur des sujets de l’agence et vivent le métier de créatif tout en étant étudiants. Au programme : brief, travail créatif et débrief. Le débrief est super important, c’est en faisant des erreurs qu’on affine son point de vue créatif. Et quand ils arrivent à produire des contenus plus intéressants que ceux de l’agence, alors leurs campagnes sortent. Je travaille avec eux comme je travaillais à l’époque en tant que directeur de création, et non pas en tant que directeur d’école. »
La pratique, c’est aussi se rendre directement sur le terrain. Ne comptez pas sur l’ISCOM pour faire de la communication de laboratoire ! Le Quatre propose d’ailleurs un module particulièrement original : l’exploration créative. « On immerge les étudiants quelque part dans Paris, ça peut être le zoo de Vincennes, un hypermarché, la gare Saint Lazare, etc. L’idée, c’est d’observer les gens, leurs manies, leurs échanges et d’être capable d’en tirer quelque chose. J’ai un étudiant qui a remarqué que dans un supermarché, les clients passent beaucoup plus de temps à chercher des produits qu’à les mettre dans leur panier. C’est tout bête, mais il proposait de créer une application pour géolocaliser les produits dans chaque magasin et faire gagner du temps aux clients. J’ai trouvé ça intéressant, c’est typiquement un service qu’une marque pourrait développer », conclut Olivier Desmettre.

Créa360, créatif à 360°

Cette fois, le nom de la filière n’a rien d’énigmatique : « Créa360 forme aux métiers de la réflexion stratégique, de la création et de la production de contenus à 360° en agence de communication ou chez l’annonceur. Ce sont les métiers du branding et du brand content », glisse Julie Aveline.
Mais qu’est-ce que le brand content ? « Il s’agit du contenu produit par et pour les marques afin de se rapprocher du consommateur et de l’usager, de créer de l’engagement. C’est une façon d’affirmer ses valeurs plutôt que de vendre ses services. On parle moins de soi, mais plus de ce en quoi on croit. La pub n’est pas le seul point d’accroche. »
Pour exercer sur tous les supports, de la stratégie à la production, mieux vaut être polyvalent. C’est justement tout l’objet de la formation. Elle permet aux étudiants de développer de solides bases publicitaires, de maîtriser tous les supports de communication, notamment les différents réseaux sociaux, et d’être capable de produire leurs contenus print, motion, vidéo et audio en parfaite autonomie. Pour résumer, un bon créa 360 peut passer d’un brief de planneur à un brief créatif et produire ses idées lui-même pour plus de réactivité et de fluidité dans les processus.
Au début de la formation, les étudiants touchent à tout, puis ils se spécialisent dans une majeure : Graphisme print et Conception-rédaction, Motion design et Storytelling, ou Webdesign et Rédaction web. Quelle que soit la spécialité choisie, la pratique y joue un rôle fondamental : « Nous travaillons toute l’année avec les entreprises. Il y a constamment des exercices, des briefs. Ça peut être des briefs sur une semaine ou une seule journée. Ces travaux servent à faire avancer les entreprises, ce ne sont pas juste des exercices étudiants », insiste Julie Aveline.

Stages et alternance à tous les étages

Dans chacune des deux formations, les troisième et quatrième années se déroulent pour un semestre en stage, et la cinquième année s’effectue toujours en alternance.
En tout, l’ISCOM reçoit chaque année plus 8 000 offres de stages, soit trois-quatre offres par étudiant ! Il faut dire que le réseau professionnel de l’école est particulièrement développé. On y trouve les principaux acteurs du secteur de la communication (Publicis, TBWA, Havas, BETC, Marcel, Fred & Farid, etc.), de nombreux médias tels que TF1, Canal+, France Télévisions et de grands annonceurs comme Nike, Yves Saint Laurent, Air France, Decathlon, etc.

Côté insertion professionnelle, l’ISCOM peut s’enorgueillir d’un taux d’embauche à six mois qui grimpe jusqu’à 86%, dont 40,5% en continuité d’alternance[1]. Pas mal non ?

Pour en savoir plus sur le programme grandes écoles de l’ISCOM et sur les spécialités créatives accessibles à partir de la troisième année, rendez-vous sur www.iscom.fr.

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