Chargé de la partie création dans tout ce qui touche à la publicité, la presse et l’édition, le graphiste doit faire montre d’un bon coup de crayon.
Diplômée de l’ESAG (École supérieure d’arts graphiques et d’architecture intérieure)-Penninghen, elle débute en tant qu’illustratrice dans un bureau de style (Peclers), touche à la presse (Marie-Claire, Télérama), avant d’être recrutée, en 1992, par Courrèges, dont elle gère l’image.
Mes formations préférées
1. Diplôme d’État spécialité design graphique/multimédia de l’ENSAD.
2. ESAG-Penninghen.
3. ENSBA.
4. BTS communication visuelle et DSAA arts et techniques de la communication de l’École Estienne.
5. ECV.
"Les deux meilleures formations me semblent être, sans conteste, les Arts déco, dans le public, et Penninghen, dans le privé. Parce que ce sont des formations longues (cinq ans), exigeantes et sélectives. Mais même quand on sort de ces écoles, il faut garder les pieds sur terre : c’est en multipliant les expériences, en faisant preuve de curiosité et. d’ouverture d’esprit qu’on devient DA (directeur artistique). Ne croyez pas vos professeurs quand ils vous prédisent un avenir radieux : vous devrez faire vos preuves en tant que graphiste avant de devenir DA."
Mon conseil : "Les meilleures écoles sont les plus sélectives, mais aussi celles qui assurent un contrôle continu : pas moyen de se relâcher !"