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Elise, étudiante à SKEMA en année de césure : "J’ai choisi SKEMA pour sa dimension internationale"

Elise, étudiante en année de césure à SKEMA, salon grandes écoles Paris
Elise, étudiante en année de césure à SKEMA, salon grandes écoles Paris © Cécile Peltier
publié le 14 décembre 2012
1 min

Son Bachelor de l’ICN Nancy en poche, Elise, 23 ans, a choisi SKEMA Business School pour le master finance de marché et ses campus à l’étranger. Son projet : partir en 4e année à Raleigh aux Etats-unis.

Pourquoi avez-vous choisi SKEMA et à quel niveau avez-vous intégré ?

Après mon bac ES, j’étais acceptée en prépa HEC, mais je ne savais pas où ça allait me mener. J’ai préféré intégrer un Bachelor de commercial international à l’ICN Nancy, ma ville d’origine. A l’issue des trois ans, j’ai eu envie de poursuivre ma formation en école de commerce. J’ai passé les concours - Ecricom, Passerelle et SKEMA - pour plusieurs écoles. Finalement, j’ai choisi SKEMA pour le master finance de marché et ses campus délocalisés à l’étranger. J’étais déjà partie en Chine, et j’avais envie de renouveler ce type d’expérience. En effet, j’avais passé six mois en échange pendant le Bachelor en Chine, puis un an entre la L2 et mon intégration à SKEMA à l’université Jiao-Tong, à Shanghai. Je suis partie par mes propres moyens pour apprendre le mandarin.

L’intégration a-t-elle été difficile ?

Non, globalement, j’ai trouvé les concours abordables. L’ambiance, très conviviale, m’a donné envie de venir à l’école. Mon intégration s’est faite très facilement. Sur le campus de Sophia-Antipolis où j’ai effectué mon premier semestre de M1, nous étions 150 comme moi à entrer en 2e année. Grâce aux associations, les étudiants font très vite connaissance. Je suis arrivée un an après la fusion de l'ESC Lille et du CERAM qui ont donné SKEMA. Cela aurait pu ne pas être évident, mais les programmes avaient été bien harmonisés. Au second semestre de M1, j’ai déménagé sur le campus de Lille qui propose la spécialisation finance. Là aussi, j’ai beaucoup apprécié l’ambiance. Depuis la rentrée, j’effectue mon année de césure en stage à la direction financière d'Intercité à la SNCF, à Paris.

Vous qui aimez tant les voyages, pourquoi ne pas avoir opté pour un stage à l’étranger ?

Après l’école, je souhaite m’orienter vers la finance de marché et plus particulièrement vers les fusions-acquisitions. Je n’avais pas encore à proprement parler d’expérience dans le domaine, et pour trouver un stage à l’étranger, mieux valait d’abord passer un petit peu de temps dans une entreprise française. Mais je compte bien me rattraper l’année prochaine, en partant sur le campus de SKEMA à Raleigh, en Caroline du Nord. On y propose la majeure "gestion des risques". L’idée est d’essayer de me faire des contacts sur place, puis de tenter de décrocher un stage de fin d’études aux Etats-Unis.

A quoi ressemble la vie étudiante à SKEMA ?

C’est très sympa. L’école regorge d’associations : le club yatching à Sophia-Antipolis, Gargantuesque, l’association d’œnologie à Lille, etc. Personnellement, je me suis engagée dans le SKEMA poker club à l’initiative du tournoi étudiant "Grandes écoles Poker Tour", qui se déroule à Paris. L’année dernière, je me suis investie dans l’organisation de l'événement par ma présence sur les forums.

La scolarité est payante. Comment faites-vous ?

L’année de M1 coûte 10.000 €. Personnellement, je bénéficie du soutien de mes parents. En tant que membre de l’équipe marketing de l'école, présente sur les forums, je m’assure un petit complément de revenus. Mais il est possible de toucher les bourses du CROUS (Centre régional des oeuvres universitaires et scolaires) et la fondation Skema propose également des aides à certains élèves.

Propos recueillis par Cécile Peltier

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