Témoignage

Le CEFAM, un réseau international pour une école à taille humaine

Proposé par CEFAM

Le CEFAM, un réseau international pour une école à taille humaine
Le CEFAM, un réseau international pour une école à taille humaine © CEFAM
Par CEFAM, mis à jour le 13 décembre 2022
8 min

École exigeante, baignée dans la culture anglo-saxonne, le CEFAM (Centre d’études Franco-Américain de Management) est aussi un établissement à taille humaine qui cultive un véritable esprit de famille. Un étudiant en troisième année et un alumnus en poste à Hong Kong témoignent des atouts de leur formation.

Thibault, 18 ans, en première année au CEFAM : « Ici, personne ne se moque de personne, on s’entraide »

« J’ai obtenu un bac général, spécialités Mathématiques et Physique-chimie, car j’envisageais une carrière scientifique. Je n’étais pas non plus fermé au commerce, et plus particulièrement à la finance, si bien que lorsque j’ai entendu parler du CEFAM, j’ai été interpellé. Ce qui m’attirait : les cours à l’américaine, un enseignement dynamique et en anglais, basé sur l’échange. Je craignais, en choisissant la faculté, de me retrouver seul dans mon coin.
J’ai postulé au CEFAM. J’étais stressé par l’évaluation écrite et orale d’anglais, car je doutais de mon niveau. Ma mère est anglaise et si j’ai toujours compris la langue, je ne la parlais jamais. Je me suis lancé et j’ai compris, lors de l’entretien, que les équipes du CEFAM n’étaient pas là pour nous juger, mais pour apprendre à nous connaître, comme lors de l’entretien de motivation. L’objectif, c’est vraiment de se présenter.
Quand j’ai été admis, j’ai profité des 48 heures d’immersion que propose le CEFAM. C’est l’occasion de “tester” l’école : on va en cours et on dort chez un étudiant. J’ai tout de suite été convaincu. C’était dynamique, encourageant et intéressant.
Je suis désormais en première année et toujours aussi séduit par le concept de classe inversée. Les élèves ont la main. La communication et les exercices sont au cœur des cours, et les “office hours” nous permettent de solliciter les profs pour des explications supplémentaires. Nous sommes maîtres de nos études et traités comme des adultes.
Ce que j’ai trouvé super, aussi, c’est que le CEFAM s’adapte à notre quotidien. Je nage six fois par semaine, mon emploi du temps a été aménagé pour que je puisse continuer.
Nous sommes nombreux à viser les États-Unis pour la quatrième année et nous pouvons tous y prétendre : il n’y a aucun quota concernant les bourses. Si tout le monde valide, tout le monde part. Cette absence de compétition nous rend encore plus bienveillants et accentue l’entraide entre étudiants. Ici, ça compte énormément. Personne ne se moque de personne et tout le monde, élèves comme profs, va dans la même direction : réussir dans un bon état d’esprit, apprendre à ne rien lâcher et se dépasser en travaillant sur soi. On n’a pas peur de l’échec, on sait qu’il nous aide à progresser.
Je ne sais pas encore quelle université je choisirai aux États-Unis. Tout dépendra de la spécialité qui m’attire. Si la finance, jusqu’ici, me parlait, il faut dire que je découvre tellement de domaines passionnants au CEFAM que rien n’est moins sûr. Avoir le choix et se projeter dans divers cursus est excitant. En attendant, je profite de mes années à Lyon, avec les autres étudiants. Nous venons tous de pays différents, nous sommes donc livrés à nous-mêmes, ce qui nous rapproche d’autant plus. Les événements organisés par l’école y contribuent. Cette année, on a fêté Halloween et Thanksgiving tous ensemble.
À mes yeux, le CEFAM est une école qui convient à tout le monde. Le seul critère ? Être motivé. Et, une fois à l’école, on le reste : on s’y sent tellement bien qu’il est impossible de baisser les bras. »

Lou-Anne, 21 ans, en quatrième année au CEFAM : « Je me sens en sécurité, tant concernant mon présent que mon avenir »

« Je suis née en France de parents français et très vite, ils ont fait le choix de s’installer aux Bahamas, où j’ai grandi. J’ai obtenu le High School Diploma, reconnu en France comme équivalent du baccalauréat. Je ne savais pas quoi faire par la suite, je ne me trouvais aucun talent particulier. Seul le domaine du business m’intriguait. Je me disais qu’il était suffisamment large pour que je me découvre une passion, un métier à exercer. Il me semblait qu’une école de management ou de commerce m’ouvrirait les portes de toutes les industries.
Je suis tombée sur le CEFAM. Le caractère international de cette business school matchait avec ma double culture et représentait pour moi l’opportunité de vivre en France, de découvrir mon pays de naissance. J’ai passé les épreuves écrites et orales pour entrer au CEFAM. Aucun problème avec l’anglais, davantage avec les maths, mais les équipes pédagogiques nous accueillent comme on est, avec nos compétences, nos lacunes et notre personnalité. J’ai été reçue. Démarrait alors une grande aventure ! Quitter les Bahamas pour la France, ce n’était pas rien. J’allais devenir indépendante et apprendre à me débrouiller seule.
Dès les premières semaines de cours, très vite, je me suis sentie entourée, accompagnée, jamais seule. Le CEFAM est une grande famille. Nous sommes une vingtaine par classe, de quoi nouer des relations, oser le contact. J’ai adoré l’enseignement aussi. Notre prof de maths était si génial que j’ai même fini par aimer cette matière.
Aujourd’hui, je suis en quatrième année, spécialité Marketing. J’ai su rapidement, grâce aux professeurs qui prennent le temps de nous transmettre leurs connaissances et leur expérience, que c’était cette voie du business qu’il me tenait à cœur d’emprunter. Je n’ai pas choisi d’effectuer ma quatrième année aux États-Unis ou au Canada comme c’est possible, car après “l’année des confinements”, durant laquelle les cours étaient en visio, je suis allée aux Bahamas. De retour à Lyon, j’ai eu envie d’y rester, de ne pas “déplacer” ma vie encore et encore.
Je peux effectuer une cinquième année quand je le souhaite et je profiterai de celle-ci pour aller aux États-Unis. En attendant, une fois mon diplôme obtenu en fin de quatrième année, je vais postuler pour travailler. Je pense qu’il sera plus intéressant pour moi de décrocher mon MBA après une expérience professionnelle.
C’est génial de pouvoir “composer” son parcours, comme le permet le CEFAM. Je suis plus que convaincue d’avoir fait le bon choix. J’ai découvert mon bonheur. Parce que j’aime ce que j’apprends, parce que je me sens au bon endroit et parce que le CEFAM est une école qui sait guider les étudiants. Je me sens en sécurité, tant concernant mon présent que mon avenir. L’enseignement à l’américaine y est pour beaucoup : il est basé sur la communication, 20 % de nos notes dépendent de notre présence et de notre investissement en classe. Et puis, le fait que les élèves viennent de l’international et que nous ayons tous l’opportunité, un jour, d’aller travailler à l’autre bout de la planète, est gage d’une ouverture d’esprit et d’enrichissement. »

Olivier, 35 ans, Associate J.P. Morgan Hong Kong, alumnus CEFAM (2006) : « Les enseignements et le réseau du CEFAM permettent l’émancipation »

« J’ai obtenu, grâce au CEFAM, un BBA Finance à la Lubin School of Business (New York), en 2006. Je suis aujourd’hui associé à la grande banque d’actifs J.P. Morgan, à Hong Kong. Le CEFAM m’a permis d’entreprendre la carrière dont je rêvais, et représente, aujourd’hui encore, une deuxième famille à mes yeux.
Ce qui m’a marqué durant ma scolarité au CEFAM a été de me sentir à la fois indépendant et membre d’une nouvelle famille. L’école permet l’émancipation grâce à sa formation, mais aussi grâce au networking. C’est une communauté de soutien et d’entraide incroyable ! Après le CEFAM, j’ai vécu dans huit villes et cinq pays différents pour mes stages et jobs, et pourtant, j’ai toujours conservé des liens solides avec mes anciens professeurs et camarades de promo. J’ai eu des Céfamiens pour clients, pour collègues, mais aussi pour témoins à mon mariage et parrains de mes enfants !
Les attentes des professeurs au CEFAM concernant le travail et l’investissement dans la vie de l’école sont à la hauteur des demandes des entreprises. On nous transmet les valeurs et le bagage nécessaires pour trouver les métiers à responsabilités qui correspondent pleinement à nos aspirations. »

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