Portrait

Lola, en M2 à l’université Bordeaux-Montaigne : "Le corps enseignant nous traite en adulte"

Enquête_Fac_Lola_Université Bordeaux Montaigne © Sabine DELCOUR pour l'Etudiant_PAYANT
Dans son cursus, Lola apprécie que les étudiants viennent de formations différentes. © Sabine Delcour pour l'Etudiant
Par Morgane Taquet, publié le 29 janvier 2018
2 min

Après un Bachelor design graphique et communication visuelle, Lola décide de se réorienter vers le digital. En master 2 multimédia à l’université Bordeaux-Montaigne, elle apprécie la diversité de provenance des étudiants et la bonne entente entre eux. Portrait extrait de notre enquête sur la fac.

Avant de rejoindre un cursus universitaire en master à l’université Bordeaux-Montaigne, Lola était étudiante à l’École supérieure de design de Troyes (groupe ESC Troyes). Elle, qui s’intéresse aux arts depuis qu’elle est petite, a suivi pendant trois ans un Bachelor design graphique et communication visuelle. Elle s’interroge alors sur la poursuite d’études en MBA (Master of Business Administration) : "Il y avait le coût du MBA bien sûr, mais aussi l’envie de me détacher du côté école de commerce très concurrentiel dans lequel je ne me sentais pas à l’aise."

Une réorientation vers le digital

Après un an de réflexion, Lola décide de se réorienter vers le digital. Grâce à ses notes et à un bon entretien, elle s’inscrit en master 1 conception de projet numérique et multimédia à l’université Bordeaux-Montaigne. "On vient tous de formations différentes : des étudiants de Sup de pub, des diplômés de DUT, des développeurs, des graphistes, etc. Seulement trois élèves sur quinze sont issus d’une licence. Ce mélange est une vraie chance.

Concrètement, c’est un plus dans la construction d’un projet multimédia : quand on est en workshop, c’est intéressant d’avoir un codeur pour le site Internet, un graphiste pour l’identité visuelle, quelqu’un de l’édition pour la rédaction des contenus, des gens de l’audiovisuel pour le montage de vidéos."
Lola apprécie également la faible compétition entre les élèves, et l’autonomie. "Dans mes études, j’avais envie qu’on me prenne au sérieux. Ici, le corps enseignant nous traite en adulte."

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