Témoignage

Ma vie d'étudiante à Sciences po Strasbourg : Manon apprécie la diversité des disciplines

USAGE UNIQUE // Manon, sciences po Strasbourg
Pour Manon, le choix des options est une façon de tester ses centres d'intêret. © Pascal Bastien pour l'Etudiant
Par Aurore Abdoul-Maninroudine, publié le 26 septembre 2016
1 min

Manon, 23 ans, à Sciences po Strasbourg, ne s'est pas laissé impressionner par la diversité des matières et a pris ses études comme un défi. Aujourd'hui en cinquième année, elle livre ses conseils pour réussir.

En arrivant à Sciences po Strasbourg avec un bac L en poche, Manon savait qu'elle aurait des cours d'économie, mais cela a surpris nombre de ses camarades. "Chaque année, certains découvrent à la rentrée le programme des cours, explique-t-elle. Ces derniers sont répartis en cinq blocs disciplinaires : le droit, l'économie, la sociologie, l'histoire et les sciences politiques." Un programme qui, à quelques nuances près, est le même dans tous les IEP.

Lire aussi :  Sciences po : les IEP au banc d'essai

Une attitude ouverte et curieuse

"Les chiffres, ce n'était vraiment pas mon truc et l'économie, cela aurait pu me faire peur", raconte la jeune femme de 23 ans, qui ne s'est pas laissé impressionner. "J'ai tout de suite adopté une attitude ouverte et curieuse. Je l'ai pris comme un défi ! Aujourd'hui, je suis convaincue que cette diversité de savoirs m'a donné des clés de compréhension du monde et de la société française", estime l'étudiante, en cinquième année dans le master études européennes et internationales.

"De manière plus pragmatique, ajoute-t-elle, les notes de première année jouent un rôle important dans l'attribution des places lors de l'année d'études à l'étranger. C'est un facteur de motivation supplémentaire pour étudier sérieusement toutes les matières." Cette diversité des savoirs, Manon l'a aussi expérimentée dans le choix de ses options en deuxième année. "Pour moi, cela a été l'occasion de tester mes centres d'intérêt. J'étais attirée par le master études européennes et internationales, mais je ne savais pas si j'étais prête à étudier cela 24 heures sur 24. J'ai donc choisi des options en lien avec les relations internationales et finalement, cela a conforté mon choix."

Vous aimerez aussi

Contenus supplémentaires

Partagez sur les réseaux sociaux !