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Le Top 5 des bonnes raisons pour partir apprendre une langue étrangère en année de césure

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publié le 22 mars 2018
5 min

Et si, pour apprendre une langue étrangère, vous décidiez de partir un an ? Une opportunité proposée par Education First, leader de l’éducation à l’international. Voici toutes les bonnes raisons de s’envoler plutôt que… de rester.

1. On plonge dans l’anglais « vrai »

Mais qu’est-ce que l’anglais « vrai » ? C’est celui que l’on parle en sortant de cours ou de stage et que l’on utilise au quotidien avec des camarades ou des collègues anglo-saxons lors d’un séjour à l’étranger. C’est celui avec lequel on raconte sa vie, ses études, ses histoires de cœur, loin de l’anglais théorique que l’on apprend sur les bancs de l’école française. Jamais, en soirée, vous n’irez dire que Brian is in the kitchen (enfin comme vous voulez).

2. Entre deux heures de cours, le prof parle anglais

Quand vous apprenez l’anglais en France, le prof est généralement comme vous : il aime le pain, le beurre et le fromage, et entre deux heures de cours, il vous parle en français, de la pluie ou du beau temps ou de la date du prochain contrôle. En l’espace de quelques secondes, vous déconnectez. À l’étranger, le prof vous fait la causette dans sa langue natale, si bien que vous continuez votre immersion. Ou comment progresser plus vite !

3. On apprend sans pression

Quand vous apprenez l’anglais dans le circuit classique à la française, une épée de Damoclès aussi prénommée « bonne note » vous guette. On apprend parce qu’il faut, on apprend parce que l’on doit trouver l’inspiration devant la copie blanche, on apprend parce que la note finale aura un gros coefficient et que l’on espère valider notre année. Une série de contraintes, parfois invisibles, qui vous empêchent de vivre avec sérénité votre apprentissage. Lors d’une année de césure, on apprend sans s’en apercevoir, les objectifs ne sont pas envahissants, et la langue devient naturelle…

4. On atteint le niveau C2 (et on décroche son TOEIC !)

Face à l’échelle des (7) niveaux d’anglais, qui va de A0 (pas bon) à C2 (excellent), on peut affirmer qu’un départ d’un an à l’étranger permet de viser l’excellence. En France, on peut tout donner et arriver à B2, mais pour atteindre C1, voire C2, partir demeure la meilleure solution. Même constat pour décrocher son TOEIC, un petit tour à l’étranger permet de valider l’examen fingers in the nose. Rien de mieux que de vivre au rythme d’une langue pour la parler couramment !

5. Sur votre CV, ça en jette !

Partir un an et revenir bilingue, ça donne du poids à votre CV. On ne va pas se mentir, préciser que l’on a appris l’anglais ou l’espagnol à Nantes, à Toulouse ou en Corrèze, ça en jette tout de suite un peu moins. Cela ne remet pas forcément en cause votre niveau (on a vu des gens très bien apprendre une langue étrangère grâce au binge watching), mais quand on a le temps et l’opportunité de quitter le territoire pour plonger à 100 % dans une langue, on multiplie les chances de trouver le job de ses rêves en rentrant !

Prêt(e) à vivre la plus belle année de votre vie ?
Education First

, leader de l’enseignement linguistique à l’international, vous propose différents programmes d’immersion à l’étranger, dont l’année de césure – aussi dite gap year. Une formule accessible pour les plus de 25 ans déjà dans la vie active, mais aussi pour les 16-25 ans ! Encore en études et désireux de progresser en langue, vous pouvez opter pour un séjour de 6, 9 ou 11 mois en commençant en janvier, avril, juin ou septembre. Plus de 50 destinations s’offrent à vous selon vos objectifs (le Royaume-Uni, les États-Unis, le Canada, Malte, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, Singapour…). Sur place, vous bénéficierez d’une formation linguistique à travers différents cours, puis profiterez de votre temps libre pour faire des rencontres et créer un nouveau quotidien ! Pour en savoir + : https://www.ef.fr/aya/

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