8 bonnes raisons d’intégrer une école de commerce internationale

Londres pour certains, Tokyo pour d’autres… Partir travailler à l’étranger fait rêver des milliers d’étudiants. Et c’est bien normal ! En intégrant une business school, vous construisez un solide bagage pour faire de ce rêve une réalité. C’est par exemple l’occasion de passer une année entière dans le pays de votre choix, de vous fondre dans la culture locale et de commencer à y bâtir un réseau. De nombreux étudiants font le choix de tenter leur chance à l’étranger une fois leur diplôme en poche, alors, pourquoi pas vous ?

C’est en tout cas la direction prise par une grande partie des alumni du CEFAM (Centre d’études franco-américain de management). Chaque année, ils sont des centaines à décrocher un emploi dans des secteurs aussi variés que l’IT, les ressources humaines ou encore le développement commercial, dans plus de 60 pays.

Les écoles de commerce internationales sont réputées pour amener chaque étudiant à développer sa curiosité et son envie d’apprendre. Dans cette optique, de nombreux cas pratiques et autres exercices de groupe sont mis en place tout au long du parcours de formation.

À l’image du CEFAM, certaines écoles s’inspirent du modèle américain pour innover en proposant des classes inversées. Ici, le concept est simple : permettre aux étudiants d’échanger avec un professeur sur des sujets travaillés librement en amont. Loin des cours magistraux, ces systèmes éducatifs sont un moyen efficace de stimuler l’ouverture d’esprit et la réflexion en vue de la préparation d’un projet professionnel. Un système valorisant, qui prend en compte chaque individu (ses forces, ses différences, ses talents) et se base sur une volonté commune d’accompagnement vers le « succès ».

Pourquoi se contenter d’un seul diplôme quand on peut prétendre à en obtenir deux, voire trois ? Grâce à leurs multiples partenariats avec des universités étrangères, les business schools offrent à leurs étudiants la possibilité de valider un diplôme reconnu aussi bien en France qu’à l’international. Une corde de plus à votre arc, particulièrement utile si votre projet professionnel se dessine hors de nos frontières.

On ne vous apprend rien, la maîtrise de l’anglais s’est imposée comme un critère fondamental dans la fiche de poste de bien des métiers. Grâce aux cours dispensés à 100 % en anglais par des professeurs souvent recrutés à l’international, mais aussi, et surtout, via l’opportunité d’effectuer une à deux années d’études à l’étranger, c’est le bilinguisme assuré !

À ce propos, pas de panique si vous n’êtes pas fluent lors de votre demande d’admission. La plupart des écoles proposent des modules de renforcement pour aider à démarrer l’année en toute sérénité, comme c’est le cas au CEFAM. Un bon moyen de décomplexer les élèves qui pourraient voir leur niveau comme un frein à leur ambition d’évoluer à l’étranger.

Qui dit « écoles de commerce internationales » dit « multiples partenariats ». Au-delà des entreprises partenaires dans le cadre d’accueil des étudiants en stage et en alternance, c’est aussi et surtout du côté des collaborations avec les universités étrangères que les business schools tirent leur épingle du jeu. Outre la possibilité de vivre une année dans un campus à l’autre bout du monde, c’est aussi l’opportunité de donner une tout autre dimension à votre CV et de bénéficier d’un réseau prestigieux.

Pour vous donner une idée, le CEFAM propose à ses étudiants d’effectuer une partie de leur cursus dans neuf universités américaines et canadiennes réparties le long de la côte est des États-Unis. Washington, Philadelphie ou encore Boston, nul doute que vous trouverez la destination parfaite pour passer une année inoubliable !

Composante essentielle de la vie d’un étudiant, le volet associatif contribue à l’épanouissement et à la prise de responsabilités. Humanitaire, événementiel, sport ou culture sont autant de domaines propices au développement de votre personnalité.

Dans cette optique, nombreuses sont les écoles de commerce qui proposent à leurs étudiants de rejoindre des clubs et associations en dehors des heures de cours. Un moyen idéal pour vous épanouir tout en faisant de nouvelles rencontres autour de thématiques qui vous tiennent à cœur.

La qualité des enseignements dispensés au sein des écoles de commerce internationales est unanimement reconnue. À cela s’ajoute la possibilité d’effectuer divers stages et alternances, en France comme à l’étranger. Vous comprenez pourquoi l’insertion professionnelle n’est généralement pas un problème une fois votre diplôme en poche.

Si l’on prend l’exemple du CEFAM, il faut compter en moyenne trois mois pour qu’un jeune diplômé trouve un emploi. Parmi les secteurs privilégiés, on peut citer la finance, l’audit, l’IT, le marketing, la supply chain, la gestion des arts & spectacles ou le management du sport. Sachez toutefois que les domaines d’activités qu’il est possible d’intégrer sont beaucoup plus vastes. De plus, grâce à la reconnaissance internationale des diplômes américains et canadiens, l’embauche se veut largement facilitée et il est possible de travailler partout dans le monde.

Intégrer une business school peut représenter un coût important pour un étudiant. Afin de l’aider à financer ses études, de nombreuses aides sont proposées par différents biais (bourse, prêt aidé, etc.). De la même manière, opter pour une formation en alternance est un très bon moyen de réduire ses frais de scolarité.

Au CEFAM, il est par exemple possible de moduler son emploi du temps en fonction de son job étudiant, d’échelonner les frais de scolarité sur plusieurs mensualités ou d’être sélectionné pour bénéficier de l’une des bourses d’honneur attribuées chaque année. En effet, les universités américaines accordent également des bourses au mérite (jusqu’à 20 000 dollars/an) aux étudiants qui affichent de bons résultats académiques.