Décryptage

« Nos étudiants combinent des compétences en management et en digital »

Proposé par NEOMA BS

programme TEMA, NEOMA Business School
programme TEMA, NEOMA Business School © Neoma
publié le 25 novembre 2020
5 min

À travers son programme TEMA, NEOMA Business School est une école réputée pour développer l’esprit entrepreneurial de ses étudiants en management digital. Entretien avec Anne-Laure Herard, la directrice de ce cursus professionnalisant qui mise sur l’apprentissage par l’action et la créativité.

Accessible après le bac, le programme TEMA développé par l’école supérieure de commerce NEOMA Business School s’est imposé ces dernières années comme la référence pour tous les étudiants en management et marketing désireux de se forger un profil agile dans le contexte de la transformation digitale des entreprises.

Véritablement novateur, ce cursus en management digital et innovation étalé sur cinq ans est conçu pour susciter l’esprit créatif de chaque étudiant via des compétences transverses. Entrons dans le détail avec Anne-Laure Herard, la directrice de ce programme dédié à la pédagogie par l’action.

Quelles sont les conditions d’admission du programme TEMA ?

Les candidats qui veulent intégrer le programme post-bac TEMA doivent se présenter au concours SESAME via Parcoursup. Les candidats suffisamment performants aux épreuves écrites communes sont ensuite invités à passer des oraux spécifiques à chaque école. Pour TEMA, ils ont une épreuve d’anglais et un entretien de motivation.

Quelles sont les spécificités de ce cursus en management digital et innovation ?

Le bac+5 TEMA a deux particularités fondamentales. La première, c’est en termes de philosophie. On travaille sur les trois dimensions que sont le management, les compétences en digital et la créativité au sens large. C’est-à-dire la capacité à innover. Il s’agit d’être capable d’imaginer des produits et services nouveaux, d’orchestrer des projets en faisant appel à des équipes pluridisciplinaires avec des business managers, des ingénieurs, des développeurs, des data analysts, des designers. Dès la première année, les étudiants suivent des cours d’initiation au code, au digital, au design graphique, etc. La deuxième caractéristique se situe au niveau de notre pédagogie en learning by doing, qui fait partie de notre ADN depuis 20 ans. Nos étudiants n’ont pas de cours magistraux en amphi. Ils apprennent de la théorie, bien sûr, mais au travers de projets. Cette alternance de cours théoriques et pratiques leur permet de mobiliser immédiatement leurs connaissances et compétences.

Que mettez-vous en place en matière d’ouverture à l’international ?

Énormément d’opportunités ! En troisième année, il y a un second semestre obligatoire à effectuer à l’international. Pour se préparer, nos étudiants suivent des cours d’anglais afin d’optimiser leur niveau avant le départ. Une fois qu’ils reviennent, les cours sont 100 % en anglais en quatrième et cinquième années. En cinquième année, ils ont à nouveau la possibilité de faire un semestre d’échange à l’international autour du digital, des technologies de l’information, de l’innovation, de l’entrepreneuriat, ou encore de la data. Ils peuvent aussi se diriger vers un double diplôme à l’international avec deux universités partenaires. L’un à Deakin University à Melbourne, en Australie, avec un Master of Business Analytics. Et un DU Innovation & Entrepreneurship in Intercultural Environments avec l’UTT Campus de Shanghai. Les étudiants peuvent également bénéficier du dispositif « Entrepreneurs sans frontières » afin de partir un an à San Francisco pour monter un projet entrepreneurial, entre un semestre à UC Berkeley et six mois au sein de son incubateur Schoolab. On peut donc passer trois ans à l’international si on le souhaite !

Comment cette agilité et cette polyvalence facilitent-elles leur insertion professionnelle ?

Nos étudiants se lancent très rapidement. L’an dernier, 76 % de nos diplômés étaient embauchés avant même d’avoir terminé les cours. Ils ont des profils de managers très recherchés, car ils combinent des compétences assez rares en management – marketing, gestion, business et design – tout en ayant un certain nombre de compétences en digital. Nous avons également des ateliers menés par notre département Talent & Carrière pour les aider à construire un projet professionnel. Leur immersion dans d’autres univers fait aussi la différence, tout comme leurs capacités créatives. Dès la deuxième année, ils ont des cours d’innovation en partenariat avec une école de design et surtout, un semestre complet dans une école hors management (école d’ingénieurs, de design ou encore de codage). Ils sont ainsi capables de mettre leurs compétences au service de projets innovants.

Avez-vous des exemples de success-stories parmi vos anciens étudiants ?

Les TEMA se placent dans tous les domaines du management, le digital étant partout. On les retrouve beaucoup dans la tech, le marketing digital, la communication digitale, ainsi que dans des cabinets de conseil. Par exemple, Édouard, de la promotion 2003, occupe un poste de dirigeant chez Amazon, à New York, dans la valorisation de captation de trafic client. Fabien, de la promotion 2007, travaille chez Accenture, à Dallas, en tant que digital strategy manager. Ou nous avons encore Salomé, de la promotion 2017, qui est consultante chez IBM, à Paris, autour de l’intelligence artificielle. Elle avait d’ailleurs suivi notre parcours en double diplôme avec CentraleSupélec.

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