La notion de confidentialité et de sécurité des données des patients est devenue cruciale et les acteurs du numérique ont un rôle majeur à jouer dans l’hébergement et la technologie adéquate pour les verrouiller.
Le télétravail, l’externalisation des informations dans le Cloud, l’accroissement des téléconsultations pendant la crise du Covid ont accéléré la nécessité du numérique en santé, avec l’appui marqué de l’État. On peut faire à peu près tous les métiers dans ce domaine : architecte sécurité, ingénieur réseau, ingénieur de virtualisation, de stockage… Plus qu’un profil type d’étudiant, l’aspirant professionnel du numérique en santé cherchera avant tout du sens dans son métier. Et l’un deux va émerger fortement dans les 10–20 ans à venir : celui de data scientist (pour interpréter le flux de données), avec l’IA en support des professionnels de santé… car l’humain reste au cœur de toutes ces actions. Bienvenue dans l’ère « phygitale » (physique et digitale) !