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EDITO. Il faut dédramatiser Parcoursup

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Par Thibaut Cojean, publié le 20 décembre 2022
2 min

Si la plateforme d'affectation à l'enseignement supérieur, qui ouvre ce mardi 20 décembre, génère de la pression pour les candidats, celle-ci n'est pourtant qu'une étape dans le processus d'orientation.

L'année de terminale n'est pas seulement rythmée par le bac, mais plus encore par la procédure d'affectation à l'enseignement supérieur, qui ouvre ce mardi 20 décembre.

Réflexion d'orientation, découverte des formations, formulation des vœux, finalisation des dossiers, réponses aux propositions. Tous ces impératifs suivent un seul et même calendrier : en regroupant la grande majorité des cursus post-bac, Parcoursup a centralisé l'orientation et créé un agenda commun à presque toutes les formations. De quoi générer une grande pression pour les candidats. Mais une pression qu'il est possible d'appréhender !

N'ayez pas peur d'oser

Car si la plateforme gère les horloges, elle ne sera pas l'arbitre de votre orientation. Ce sont bien les formations qui décideront de votre admission, via une étude automatisée ou individuelle des dossiers. De votre admission, mais pas de votre avenir : Parcoursup n'est qu'une étape, celle de votre entrée dans l'enseignement supérieur. Ensuite, libre à vous de poursuivre le même chemin ou d'opter, comme des dizaines de milliers d'étudiants chaque année, pour la réorientation, la spécialisation ou encore la passerelle.

Dernier conseil : n'ayez pas peur d'oser ! L'autocensure est la pire ennemie de l'orientation

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