Coaching
"Job dating" et forums de recrutement : Quels petits détails sont susceptibles d’agacer les recruteurs ?
Par
Jean-Marc Engelhard,
publié le 21 mai 2007
2 min
Ce sont des petits riens, mais ils peuvent faire mauvaise impression.
Un regard fuyant. "Même s’il ne faut pas le faire en permanence, il est important de regarder son interlocuteur dans les yeux. Un regard fuyant a rarement un impact positif, remarque Sébastien Pair. Il donne l’impression d’un interlocuteur pas vraiment concerné par la discussion."
Des tics pas top. "Tapoter le bureau avec son stylo, passer sa main dans ses cheveux, frapper le sol avec son pied… tout le monde a ses petits tics, constate également Sébastien Pair. Avec le stress, ils ont tendance à s’accentuer et sont susceptibles de “polluer” un échange, voire de prendre plus d’importance que le contenu de la discussion."
Une sonnerie intempestive. "Pour éviter d’être surpris et déstabilisé par un appel téléphonique, il ne faut pas oublier d’éteindre son mobile, poursuit Sébastien Pair. Sans compter que cela peut aussi indisposer le recruteur."
La simple distribution de CV. "Sur les Salons, certains candidats se contentent de passer de stand en stand, simplement pour déposer leur CV, raconte Stéphane Hegedus. Même si leur profil est recherché, ils ont moins de chance d’être contactés que ceux qui patientent le temps qu’un représentant de l’entreprise se libère pour discuter avec eux."
Une poignée de main peu engageante. Parmi les petits détails susceptibles d’impacter l’appréciation des recruteurs, Véronique Lafon ajoute l’incontournable poignée de main : "Une main ferme, décidée fera forcément une meilleure impression qu’une molle. Personne ne s’arrête à cela, mais c’est simplement une première impression négative."
Se présenter au dernier moment. "Arriver dans les temps fait partie des préalables élémentaires, selon Véronique Lafon. Je vois d’un très mauvais oeil un candidat se présentant sur le stand une demi-heure avant la fermeture des portes du Salon. À moins d’une excuse béton, un tel comportement est pour le moins un manque manifeste de sérieux."
À bannir : les questions matérielles."Certains sujets ne doivent pas être abordés à ce stade du processus de recrutement, affirme Sébastien Pair. En particulier toutes les questions pratiques et matérielles, comme les congés payés ou la rémunération."
Des tics pas top. "Tapoter le bureau avec son stylo, passer sa main dans ses cheveux, frapper le sol avec son pied… tout le monde a ses petits tics, constate également Sébastien Pair. Avec le stress, ils ont tendance à s’accentuer et sont susceptibles de “polluer” un échange, voire de prendre plus d’importance que le contenu de la discussion."
Une sonnerie intempestive. "Pour éviter d’être surpris et déstabilisé par un appel téléphonique, il ne faut pas oublier d’éteindre son mobile, poursuit Sébastien Pair. Sans compter que cela peut aussi indisposer le recruteur."
La simple distribution de CV. "Sur les Salons, certains candidats se contentent de passer de stand en stand, simplement pour déposer leur CV, raconte Stéphane Hegedus. Même si leur profil est recherché, ils ont moins de chance d’être contactés que ceux qui patientent le temps qu’un représentant de l’entreprise se libère pour discuter avec eux."
Une poignée de main peu engageante. Parmi les petits détails susceptibles d’impacter l’appréciation des recruteurs, Véronique Lafon ajoute l’incontournable poignée de main : "Une main ferme, décidée fera forcément une meilleure impression qu’une molle. Personne ne s’arrête à cela, mais c’est simplement une première impression négative."
Se présenter au dernier moment. "Arriver dans les temps fait partie des préalables élémentaires, selon Véronique Lafon. Je vois d’un très mauvais oeil un candidat se présentant sur le stand une demi-heure avant la fermeture des portes du Salon. À moins d’une excuse béton, un tel comportement est pour le moins un manque manifeste de sérieux."
À bannir : les questions matérielles."Certains sujets ne doivent pas être abordés à ce stade du processus de recrutement, affirme Sébastien Pair. En particulier toutes les questions pratiques et matérielles, comme les congés payés ou la rémunération."
