Découvrez les métiers de l’assistance avec Atlas, la branche des Sociétés d’Assistance, et l’Observatoire des Métiers de l’Assistance !

Face à un dégât des eaux ou en cas de panne ou d’accident, nous avons tous le réflexe d’appeler notre assurance. Immédiatement, des chargés d’assistance se montrent disponibles et réactifs pour nous secourir, nous guider et nous envoyer un spécialiste si nécessaire. Ces personnes travaillent dans une branche spécifique, aussi nommée branche de l’assistance, qui traite plus de 52 millions d’appels par an en France*. En son sein, plusieurs métiers sont représentés, qui constituent un véritable maillon destiné à aider l’individu dans le besoin en fonction des garanties contractuelles dont il dispose.

La branche des Sociétés d’Assistance, l’Observatoire des Métiers de l’Assistance et Atlas, l’OPCO des services financiers et du conseil, vous proposent d’entrer dans les coulisses de cet univers à forte employabilité, dynamique et proche des gens.

S’il y a bien un secteur qui n’est pas touché par le « brown out », soit le sentiment d’exercer un travail qui manque de sens, c’est celui de l’assistance. En effet, dans cette branche, les missions sont très concrètes. On sait exactement pourquoi on se lève le matin : pour venir en aide aux bénéficiaires d’une assurance qui rencontrent un problème. Si madame Dupont, par exemple, égare ses clés et ne peut plus entrer chez elle, elle téléphonera à son assurance habitation. À l’autre bout du fil, un chargé d’assistance l’écoutera, étudiera la situation et trouvera une solution sécurisée et rapide. Nombre d’aléas du quotidien (dégâts des eaux, dommages matériels sur voiture, cambriolage, etc.) sont ainsi traités par les métiers de l’assistance.

Ainsi, le chargé d’assistance – profession phare de la branche que vous pouvez découvrir en vidéo ici – exerce un métier on ne peut plus tangible.

Par ailleurs, des techniciens d’assistance, spécialistes dans différents domaines réceptionnent, eux aussi, des demandes d’assistance, notamment dans le domaine de l’auto, de l’habitat et de la santé.

Le métier d’animateur réseau joue également un rôle crucial, puisque celui-ci sélectionne avec soin des prestataires aptes à répondre aux demandes d’assistance, tels que des dépanneurs, des taxis, des ambulanciers, des plombiers, des serruriers, etc.

Si l’animateur réseau est amené à se déplacer pour rencontrer des prestataires et créer un réseau de prestataires utile aux demandeurs d’assistance sur le terrain, les chargés et techniciens d’assistance travaillent sur des plateaux téléphoniques. Une grande famille qui œuvre ensemble pour trouver des solutions d’assistance 24 heures sur 24, et 7 jours sur 7. De ce fait, les horaires sont modulables : on peut travailler de jour, de nuit, profiter d’un congé en pleine semaine… Ce rythme décalé ajoute une dose d’anti-monotonie à ces métiers concrets, où l’ennui n’existe pas.

Chaque jour, les personnes qui travaillent dans l’assistance tiennent donc un rôle bien précis, celui de répondre au bénéficiaire par différents moyens (téléphone, messagerie, WhatsApp) et de lui apporter de l’aide et du soutien après avoir examiné sa situation. Pour cela, le monde de l’assistance recherche des profils empathiques, qui aiment faire preuve de réactivité dans l’urgence. Vous savez écouter les gens ? Vous êtes dynamique, alerte et organisé(e) ? Si vous souhaitez vous orienter vers un métier basé sur l’humain, qui épaule tout un chacun face aux soucis pratiques du quotidien, ce secteur est taillé pour vous, autant que vous êtes taillé(e) pour lui.

Selon vos préférences, vous pouvez choisir le domaine qui vous sied : l’automobile, l’habitation, la santé, le voyage, le médical, le service à la personne ? Il est possible d’apporter son aide là où on se sent le plus à l’aise et le plus proche des gens.

La branche de l’assistance emploie plus de 10 000 personnes en France et la bonne nouvelle, c’est que vous n’êtes pas tenu(e) d’arborer un CV très garni ou d’avoir mené de longues études supérieures pour décrocher votre place. Le baccalauréat, ou un niveau équivalent acquis par l’expérience, est suffisant : ce qui compte, c’est avant tout votre personnalité, votre motivation, votre désir d’aider les gens et votre capacité à être sur le qui-vive.

À noter que si vous avez suivi des études supérieures après le bac ou réalisé des stages, ces qualifications pourront vous ouvrir les portes d’une filière spécifique dans l’assistance : des compétences dans l’informatique vous conduiront aisément à devenir technicien(ne) informatique tandis qu’une sensibilité pour le sanitaire et le social sera susceptible de vous escorter jusqu’à l’assistance santé.

Vous pouvez tenter votre chance afin de découvrir ce milieu. Vous bénéficierez d’une formation de deux semaines pour entamer votre nouvelle vie avec le bagage nécessaire. À savoir qu’une personne sur trois fait ensuite le choix d’y travailler durablement. L’avenir vous le dira !

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