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Étudiants : vivre seul, en coloc ou en cité U ?

Proposé par Hey Me

Étudiants : vivre seul, en coloc ou en cité U ?
Étudiants : vivre seul, en coloc ou en cité U ? © Hey Me
publié le 22 juin 2020
6 min

À deux doigts de sauter dans le grand bain de l’indépendance, vous vous posez une question de taille : est-ce que je m’installe seul(e), en coloc ou en résidence étudiante ? Avant de tirer à la courte-paille, on fait le point sur ces options, leurs avantages et les modalités administratives qu’elles requièrent.

L’heure est aux études supérieures et vous quittez le nid familial. Oui, mais pour quel nid ? Un studio, une colocation, une chambre dans une résidence étudiante ou en cité U ? Le choix est cornélien et dépend de plusieurs facteurs, de votre caractère à vos finances, en passant par vos projets d’avenir. On fait le point !

L’appartement solo, la liberté au bout du trousseau de clés

Première option qui s’offre à vous, l’appartement en solo ou plutôt le studio, car la surface de votre logement dépend de votre budget et de la ville dans laquelle vous vous trouvez ; on ne paie pas le même loyer à Paris qu’à Limoges, et c’est bien dommage (pour Paris). Notez aussi qu’il vous faudra certainement un garant : la plupart des propriétaires le demandent face au risque de loyers impayés. Pour cela, vous pouvez choisir un proche ou souscrire à la garantie Visale, une caution proposée par l’État via Action Logement, qui se porte donc caution pour vous.
Une fois réglées ces questions administratives, parlons de vous : s’installer seul présente quelques avantages considérables, à commencer par la liberté. Si vous êtes plutôt du genre introverti, au sens psychologique du terme (c’est-à-dire que vous vous nourrissez très bien de vous-même, plus que des autres), alors l’appartement à votre nom est une bonne idée. Vous voilà tranquille pour réviser vos cours et personne ne piquera dans votre frigo. Si vous choisissez un logement non meublé, vous restez maître(sse) de la déco. Vous pouvez également prendre un appartement meublé, notamment pour faire quelques économies, mais aussi dans le cas où vous ne comptez pas rester là de nombreuses années.

Dans la colocation, chacun sa chambre, mais tous dans la même salle de bains

Si vous êtes plutôt du genre extraverti, de ceux/celles qui aiment papoter, échanger, profiter du bruit, de la musique des autres et même de leurs poils sous la douche, alors bienvenue en colocation ! Trêve de plaisanterie, la coloc a aussi des avantages considérables : elle permet de ne pas se sentir trop seul (dans le cas où la solitude vous serait aussi agréable que le goût d’un chou de Bruxelles), d’opérer une transition en douceur vers l’indépendance et surtout, de réduire les coûts. Ainsi, vous pouvez disposer d’un logement bien plus grand. Idéalement, chaque colocataire a sa chambre tandis qu’on partage le salon, la cuisine, la salle de bains et les toilettes (évidemment).
La colocation insuffle dynamisme, énergie, joie. Elle demande simplement un minimum d’organisation et de clarification. Il est préférable de faire les comptes et de ne pas taper dans les yaourts des autres, au risque de créer des conflits. Si chacun investit son espace sans empiéter sur celui des autres, alors ça peut être une expérience inoubliable.

Le compromis : la cité U, entre indépendance et copains de ping-pong

Une résidence pour étudiants est un établissement qui propose des chambres ou des appartements réservés aux étudiants. Ils sont généralement meublés et équipés, autrement dit, vous pouvez déménager avec une valise et à vélo.
La résidence étudiante est un bon compromis entre le studio solo et la colocation : vous vivez seul(e) dans votre chambre ou votre appartement, mais vous êtes entouré(e) de plein d’autres étudiants, que vous croisez à la laverie, à la salle de sport, à la cafétéria… Financièrement, la résidence étudiante reste accessible, mais les élèves les plus modestes demeurent prioritaires. Quelle que soit votre option – appartement solo, coloc ou cité U – vous pouvez solliciter la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) afin de bénéficier de l’Aide Personnalisée au Logement (APL) ou de l’Allocation de Logement Social (ALS).

Comment assurer son logement sans se ruiner ? La solution HEYME

L’assurance multirisques habitation, aussi nommée MRH dans le jargon, est obligatoire (que vous viviez ou non dans un meublé). Elle vous couvre en cas de cambriolage, incendie, dégât des eaux… C’est-à-dire qu’elle prend tout en charge et que vous n’avez rien à débourser.

L’assurance logement représente un coût supplémentaire à intégrer dans votre budget. Ainsi, l’assurance logement by HEYME , assureur pour les jeunes (et qui a tout compris des jeunes), protège votre appartement en cas de pépin à partir de 31 euros par an.

En plus de ça, dans le cas de la colocation, tous vos colocataires sont assurés avec vous, sous le même contrat, ce qui évite de multiplier la paperasse inutile et permet de diviser les frais. Là au moins, c’est clair, net, efficace, sans embrouilles. En bonus ? L’assurance logement HEYME inclut une assurance de responsabilité civile (elle prend en charge les dommages causés à autrui, en cours, en stage, même dans la rue…). De quoi faire d’une pierre deux coups pour une protection au top du top.

Comment assurer son logement avec HEYME ? Toutes les infos sur https://heyme.care/fr/assurance/logement

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