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« A l’ICAN, je développe un service de création de visites virtuelles en parallèle de mes cours »

« À l’ICAN, je développe un service de création de visites virtuelles en parallèle de mes cours »
« À l’ICAN, je développe un service de création de visites virtuelles en parallèle de mes cours » © Fotolia
publié le 26 novembre 2017
4 min

En parallèle de sa troisième année de Bachelor à l’ICAN, Alexandre Logeais s’est attelé avec 5 camarades au lancement d’une entreprise proposant des services de création de visites virtuelles. Il raconte.

« La bande démo est finalisée, il nous faut désormais trouver des clients. » À 22 ans, Alexandre Logeais mène de front ses études, en troisième année du Bachelor de Game Design à l’ICAN (école parisienne d’infographie, de game design, d'animation 3D et de Web design), et un projet de création d’entreprise.

Alexandre ne s’est pas lancé seul dans cette aventure, partie à l’origine d’un projet réalisé dans le cadre de son Bachelor. Aujourd’hui, ils sont 6 en tout – 3 étudiants et 3 diplômés de l’ICAN – à collaborer afin de proposer des services de création de visites virtuelles. Leurs cibles de prédilection ? La culture et le tourisme, comme l’offre de visite virtuelle d’un monument historique ou encore d’une ville pour des collectivités souhaitant proposer ce type de services sur leur site Internet.

Les étudiants ont utilisé les compétences acquises dans le tronc commun du Bachelor (programmation, design numérique, numérisation 3D et 2D), mais également des techniques qui permettent « d’affiner tous les détails dans le rendu » et en particulier « la texture de l’image », détaille Alexandre.

Les étudiants disposent de deux journées par semaine pour leur projet

Quand on lui demande s’il a hésité à sauter le pas, la réponse d'Alexandre fuse : « Pas vraiment, grâce à l’aménagement du temps proposé par l’ICAN. » Pour tous les Bachelors, les cours sont en effet rassemblés sur les trois premiers jours de la semaine afin de laisser aux étudiants deux journées libres, « l’occasion de faire ses devoirs, d’effectuer des stages ou de se lancer dans des projets plus personnels ». Aujourd’hui, l’étudiant est ravi de sa décision : « C’est vraiment très formateur et excitant intellectuellement », même si, admet-il, cela demande aussi d’apprendre à gérer au quotidien la pression entre les objectifs du projet et les cours.

La gestion d’équipe, une source de nombreux défis ! sont en fait

Chef de projet, Alexandre a également appris beaucoup de cette expérimentation concrète de la gestion d’équipe : « C’est dans l’action qu’on réalise que certaines choses qui nous semblaient anecdotiques sont en fait cruciales pour travailler en bonne intelligence. » Ainsi, le respect des deadlines par l’équipe suppose pour le chef de projet « de ne pas rester passif en attendant le jour J » : « Il faut s’assurer que ça avance, aller voir les gens, discuter. Des difficultés peuvent également apparaître, et il faut alors savoir s’il est réaliste de maintenir les objectifs fixés. »

Coup de pouce de l’école pour le lancement du projet

Enfin, et c’est peut-être le plus important, « il faut se faire confiance » : « Les doutes peuvent être un moteur, mais s’ils vous font perdre du temps ou de l’énergie, ce n’est pas une bonne chose. »

Mais dans ces moments-là, Alexandre et son équipe savent qu’ils peuvent compter sur l’ICAN, qui se montre très présente : après avoir « vérifié que la proposition tenait bien la route », elle compte bien les aider grâce à son réseau d’entreprises partenaires. Un projet à suivre !

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