Préservatifs : tout ce que vous avez toujours voulu savoir…

Prenez un préservatif à votre taille

Il faut d’abord choisir selon sa taille de pénis, comme le précise Thierry Métayer, co-fondateur de CondoZone, site marchand de préservatifs : « Si le préservatif serre trop le pénis, il peut craquer. À l’inverse, il peut glisser ». Pour une sécurité optimale et un maximum de plaisir, soyez bien dans votre capote ! Si 80 % des hommes ont besoin d’une taille standard, 20 % feront appel à un préservatif plus ou moins large.

Ne vous privez pas d’essayer seul

Stéphane Calleja, fondateur de Callvin, marque humoristique de capotes, rappelle que pour faire le bon choix, il faut tester. « Il est important de trouver le modèle qui nous convient » précise-t-il. Et le faire seul avant de se retrouver au lit est vivement conseillé ! Marc-André Pointel, fondateur du Roi de la capote précise qu ‘en plus d’enfiler une capote en solo, il faut la manipuler : « Le but est d’indiquer au cerveau que le préservatif choisi est un ami. On se familiarise avec lui ».

Fournissez-vous également en lubrifiant

« La lubrification additionnelle est indispensable , insiste Marc-André Pointel. La lubrification des préservatifs aide à mieux les dérouler, c’est tout ! Et les extra-lubrifiés apportent un plus, mais ne font pas tout. La lubrification féminine n’est, quant à elle, pas continue, ni automatique, pendant le rapport ». Il faut donc se munir d’un lubrifiant pour recharger la voiture… en huile. Sinon, on n’avance pas bien loin.

Faites attention aux normes (et aux dates de péremption)

La norme CE doit impérativement figurer sur les préservatifs que vous achetez : ne vous procurez pas des préservatifs n’importe où sur le Web. « Quant à la norme NF, les marques l’utilisent moins (c’est le cas de Manix qui n’appose plus que la norme CE sur ses boîtes de préservatifs), ce qui est dommage car les tests sont plus fréquents et plus poussés » précise Thierry Métayer. Et pour la date de péremption, ouvrez l’œil : c’est comme pour la bouteille de lait, après la date, ce n’est plus bon.

Il existe des préservatifs sans latex (et même des préservatifs vegan)

« Si vous ressentez une gêne lorsque vous portez un préservatif, sans comprendre d’où elle vient, il s’agit peut-être d’une allergie au latex, prévient le co-fondateur de CondoZone. Idem pour votre partenaire. 5 à 10 % des individus sont allergiques au latex ». Alors si vous vous sentez irrité, gêné… changez pour des capotes avec la mention « sans latex ». Et vous pouvez trouver des préservatifs vegan de la marque Einhorn.

L’argent est un faux critère

Dépenser cinquante centimes pour être en bonne santé et s’éviter une grossesse non désirée, ça n’a pas de prix. Il faut simplement prendre conscience que le préservatif est le meilleur moyen au monde de partager des rapports sexuels sereins.

Dédramatisez l’achat

Bien que le préservatif soit avant tout un dispositif médical, l’humour envahit le marché afin de dédramatiser l’achat. « Nous nous sommes lancés afin de mettre les jeunes plus à l’aise », nous confie Stéphane Calleja, de Callvin. De la même façon que Durex a fait le buzz avec un faux lancement, celui d’une capote goût aubergine. Et promis, même votre pharmacien a de l’humour.

On joue avec la capote comme une cerise sur le gâteau

Tous les préservatifs texturés, chauffants, qui retardent le plaisir… sont de même qualité que les préservatifs ordinaires. Le petit plus, ce sont les sensations. Les perles titillent les parois vaginales de votre compagne, les parfums proposent une fellation plus fun… « Il faut voir son préservatif comme un complice de jeu, qui peut nous apporter de nouvelles sensations ! » conclut Nathalie Giraud, sexothérapeute.

Testez les moteurs de recherche de Condozone pour trouver la capote qui vous convient !

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