Mal-être : les clés pour remonter la pente

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Publié le 12/06/2013 par TRD_import_PatriciaLabiano ,
Ce qu 'on pensait etre un coup de blues passager dure depuis des mois. Allez, c'est decide, on prend de bonnes resolutions pour en finir avec ce mal-etre ! Sans plan d'action, pas de reussite a la cle. Alors on met noir sur blanc ce qu'il faut changer.

Le mal-être, c’est quoi au juste ? Le contraire du bien-être, oui mais encore ? Le contraire du plaisir, du bonheur ? Et le bonheur ?

Le bonheur, un savant mélange

Le bonheur finalement, c’est juste un cocktail bien dosé de petits plaisirs, de rendez-vous agréables, de projets qui montrent que la vie vaut la peine d’être vécue et qu’on suit le bon chemin. Et si la recette du bonheur, c’était de veiller à ce qu’il ne manque aucune épice pour obtenir la saveur qui vous va ?

Plus compliqué aujourd’hui

Il y a 50 ans, pour les jeunes filles, le bonheur c’était d’avoir un mari, une belle maison, des enfants et de ne pas se poser de questions. En fait, aujourd’hui, c’est beaucoup plus compliqué d’avoir le job qui vous convient mais aussi le compagnon drôle et sympa qui, à la fois, vous fait rire et vous sécurise, d’avoir un ou des enfants quand on veut et si on veut, de garder pour soi des moments entre copines, et aussi préserver une place pour ses rêves…

Ça fait beaucoup et c’est normal qu’on n’y arrive pas à tous les coups et tout de suite !

Cultiver son jardin intérieur

La vie est faite d’un enchaînement de moments qui la rendent plus lumineuse. Le bonheur ne peut être constant, mettez-vous bien ça dans la tête ! En revanche, avoir une attitude positive et accueillir le bonheur et le cultiver, c’est possible et ça s’apprend.

Apprenez à relativiser les petites misères : « Mes résultats baissent, les profs ne me font pas de cadeau, j’ai pas une vie amoureuse très _up _… » Quand tout prend une dimension dramatique, dites-vous que l’éclaircie n’est pas loin.

Distinguer gros malheur et petites contrariétés

Mais si vous traînez depuis quelques mois un gros chagrin (la perte d’un être cher), écoutez votre tristesse, vous avez bien le droit de vous apitoyer un peu sur vous-même. « Faire son deuil » est quelque chose de nécessaire.

Vos états d’âme ne doivent pas non plus être enfouis sous prétexte qu’ils n’intéressent personne et que c’est mieux pour votre image de paraître archi-détendue. C’est juste qu’il ne faut pas mettre les vrais malheurs au même plan que les petites contrariétés. En bref, *on arrête de « psychoter » *avant de voir vraiment tout en noir. On re-la-ti-vi-se !

À lire aussi dans ce dossier :

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*A consulter aussi :*

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