Enquête

Banque et alternance : le meilleur chemin vers l’employabilité

Proposé par Crédit Mutuel

publié le 28 janvier 2021
Durée de lecture : 
6 min

Portée par un taux d’employabilité impressionnant, l’alternance s’impose peu à peu comme un système de formation incontournable. Une voie d’excellence très largement plébiscitée par le secteur bancaire.

Les chiffres ne mentent pas, l’alternance a la cote ! En 2019, ce sont 353 000 nouveaux contrats d’apprentissage qui ont été signés. Plus d’un dirigeant sur deux recrute un nouvel apprenti dans les deux ans qui suivent la fin du contrat précédent. En 2020, malgré la crise de la Covid-19, il semblerait que les chiffres soient tout aussi bons.

Le secteur bancaire s’inscrit dans cette dynamique. En 2019, les banques ont signé 6 900[1] contrats d’alternance. À lui seul, le Crédit Mutuel recrute en moyenne 1 300[2] alternants chaque année.

L’alternance, une voie royale vers l’emploi

Il faut dire que l’alternance est une ligne particulièrement valorisante sur un CV. Rester 12, 24 ou 36 mois dans une entreprise, ce n’est pas anodin. Cela signifie mettre en application des cours théoriques et développer de nouvelles compétences ainsi qu’un savoir-être. « Au fur et à mesure, on prend confiance en soi, on monte en compétence et on acquiert plus de responsabilités. À la fin de l’alternance, on est autonome sur notre poste et on connaît tous les process internes. Par rapport à quelqu’un qui vient d’un master classique, ça fait la différence », abonde Fiona Deleersnyder, recrutée par le Crédit Mutuel en tant que conseillère commerciale pour particuliers à l’issue de sa formation.

Bien conscientes que l’alternance permet de recruter en limitant le risque de mauvais casting, beaucoup d’entreprises ont développé leurs propres Centres de Formation des Apprentis (CFA). C’est le cas du Crédit Mutuel, qui dispose de cinq CFA et dispense des formations de niveau bac +3 à bac +5 facilitant l’intégration dans la société.

Tous les métiers de la banque sont concernés par l’alternance

L’image d’Épinal d’un système de formation dédié aux professions manuelles a vécu ! C’est bien simple, l’alternance impacte tous les postes de la banque et tous les niveaux de qualification.

Il peut s’agir des métiers commerciaux traditionnels de la banque de détail – accessibles à partir de bac+2 et bac +3 –, mais aussi de postes plus techniques, accessibles à partir de bac +4 et bac +5. Parmi ces derniers, on retrouve les métiers de traitement des opérations bancaires (gestionnaire de back-office, informaticien/chargé de qualité, spécialiste des opérations bancaires, etc.), les métiers de la finance (analyste de crédit, analyste financier, gestionnaire de patrimoine, gérant de portefeuille , trader, etc.), les fonctions support (juriste, fiscaliste, comptables, contrôleur de gestion, professionnel de la communication ou des ressources humaines, etc.) et les nouveaux métiers IT dans les domaines du big data, de l’intelligence artificielle et de la blockchain.

Concrètement, il est tout à fait possible d’être ingénieur informatique et de réaliser son master en alternance. L’informatique est même l’un des domaines qui a le plus recours à ce système de formation. Vincent Siri, responsable service Data Analytics au sein du Crédit Mutuel Nord Europe, ne dit pas autre chose : « Les profils ayant effectué une formation en alternance sont privilégiés dans les recrutements. Par rapport à un stage, l’alternance permet d’investir sur des personnes en se laissant le temps de les former pour qu’elles soient opérationnelles et autonomes. Dans un domaine technique comme la data science, on a besoin de temps. C’est du gagnant-gagnant pour tout le monde. »

Après une alternance en banque, de nombreuses perspectives professionnelles

Être recruté à la fin de son alternance, c’est intégrer un secteur particulièrement pérenne. Les banques ont recruté pas moins de 44 000[4] personnes en 2019, et du côté du Crédit Mutuel, 94,5 %[5] des salariés sont en CDI. Niveau salaire, tout va pour le mieux puisque les primes, l’intéressement, la participation et le 13e mois sont monnaie courante.Le secteur bancaire offre aussi de vraies perspectives d’évolution. Et pour cause, les établissements bancaires proposent une large palette de fonctions (voir plus haut) et la plupart des grandes banques traditionnelles ont des activités réparties entre la banque de détail, la banque de financement et d’investissement, la banque privée et la banque de marché. On les retrouve également dans des domaines totalement différents tels que les assurances, l’immobilier ou encore la téléphonie.L’évolution professionnelle est d’autant plus réelle que la promotion interne est la norme. Les établissements bancaires investissent beaucoup dans la formation interne pour que les salariés développent des compétences qui leur permettront d’évoluer plus facilement. Au Crédit Mutuel, le budget de la formation représente 5,5 %[6] de la masse salariale (contre 2 à 3 % dans le reste de l’économie). À travers cet accompagnement personnalisé, le groupe entend évoluer au plus près des besoins et aspirations de ses collaborateurs. Au programme, des formations accessibles à chacun et qui sont de plus en plus souvent certifiantes : formations comportementales, managériales ou techniques.

[1]. Association Française des Banques (AFB), chiffre 2019
[2]. Crédit Mutuel, chiffre 2020
[3]. Ministère du Travail, chiffre 2018
[4]. Dans les banques adhérant à la Fédération Bancaire Française (FBF), chiffre 2019
[5]. Crédit Mutuel, chiffre 2020
[6]. Crédit Mutuel, chiffre 2020

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