Les entreprises préférées des étudiants dans le monde : Google rafle encore la mise en 2011

Google arrive encore une fois à la première place du classement, talonné par Apple, qui enregistre une des plus belles progressions en 2011, allant jusqu’à gagne neuf places auprès des futurs managers. Ces entreprises high-tech, logiquement attractives pour les ingénieurs, le deviennent aussi pour les managers, grâce à leurs produits innovants. C’est ce qui ressort de l’édition 2011 du Top 50 des employeurs les plus attractifs au monde, publié pour la troisième année consécutive par Universum.

Les entreprises américaines continuent d'accroitre leur leadership, avec 28 entreprises positionnées dans le Top 50 des futurs managers et 26 dans celui des futurs ingénieurs. L'Oréal est la seule entreprise française qui est présente dans les deux classements.

Les futurs ingénieurs favorisent les nouvelles technologies, avec un trio de tête très high-tech (Google, IBM et Microsoft), suivi non loin par Intel, Sony et Apple. On note également un regain d’intérêt pour le secteur automobile, avec BMW à la quatrième place. Dans un mouvement identique, Volkswagen, Ford Motor Company et General Motors prennent trois places, et Daimler fait son entrée dans le tableau.

Les étudiants en écoles de commerce privilégient l’audit. De fait, Google est sérieusement menacé par les Big Four avec KPMG à la deuxième place, suivi de près par PwC, Ernst & Young et Deloitte. A noter que les étudiants français vont contre la tendance internationale en privilégiant les banques au détriment des Big Four. Les nouvelles technologies continuent de les attirer, avec Microsoft à la sixième place et surtout Apple qui grimpe de la 18ème à la 9ème place.

Classement mondial 2011 des employeurs idéaux selon les étudiants

Classement complet : http://www.universumglobal.com/Top50


Ce classement mondial est une consolidation des enquêtes nationales réalisée dans 12 pays : Allemagne, Brésil, Canada, Chine, Espagne, Etats-Unis, France, Inde, Italie, Japon, Royaume-Uni et Russie. Au total, 161 000 étudiants issus des grandes écoles de ces 12 pays ont répondu.