Je dois reconnaître que la moisson de 14 recrutés Phénix en 2012 (soit 5% des candidats au lieu des 10 % environ des années précédentes) me laisse un goût amer. Tant d’efforts pour un tel résultat!
Il faut dire que la conjoncture économique désastreuse ne favorise ni les recrutements d’une façon générale ni les démarches originales et sophistiquées comme celle de l’opération Phénix.
span style="font-weight: bold;">Lire la suite du billet de Bernard Deforge sur son blog Educpros.
