Les quatre écoles des Mines d’Alès, Albi, Douai et Nantes, n’organiseront plus, à compter de la session 2011, leur concours de recrutement après une première année de maths sup. Plus d’exception donc dans le paysage des écoles d’ingénieurs pour ces quatre écoles qui dispensaient une formation en quatre ans.
La pédagogie a été revue sur trois ans. Quant aux admissions, uniquement après une maths spé désormais, elles continueront à se faire via le concours Mines-Ponts sur lequel les quatre écoles étaient déjà en banque de notes. Le nombre de places sera, en revanche, plus conséquent.
L’objectif des ex-écoles des Mines en quatre ans, baptisées aussi les petites Mines, est de faire oublier cette appellation, pour rejoindre, sur un pied d’égalité, les trois autres grandes écoles des Mines de Nancy, Saint-Etienne et Paris.
Disparition confirmée du concours sup des petites Mines
La personnalité du jour
Christophe Clément
Président de l’université de Reims Champagne-Ardenne
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