Les blocages de seulement six universités (Angers, Nantes, Limoges, Grenoble 2, Pau et l’IUT de Perpignan) listées dans un communiqué de l’UNEF daté de mercredi étaient quasiment tous levés jeudi 4 novembre 2010. La faculté de lettres et sciences humaines de l’université de Limoges avait elle reconduit le blocage à la suite d’une assemblée générale. L’université de Lyon 2 où des dégradations ont été commises dans les bâtiments de psycho-sociologie par quelques étudiants, a été fermée jusqu’à vendredi 5 novembre 2010. Le ministère de l'Enseignement supérieur précise en outre que les universités de Nantes, Grenoble et le Havre restent "perturbées". En revanche, les universités de Paris 1-Tolbiac, Caen, Angers, Perpignan, Le Mans ont repris les cours normalement.
Une vingtaine d’AG devaient encore se tenir pendant cette journée qui marquait également le retour en cours des lycéens après les vacances de la Toussaint. L’UNEF et l’UNL appellent les étudiants et lycéens à rejoindre les manifestations de ce samedi 6 novembre 2010.
