Figurant parmi les premières écoles d’ingénieurs à mettre en œuvre l’ouverture sociale dans l’Hexagone, l’ span class="external-link-new-window">Esstin (École supérieure des sciences et technologies de l’ingénieur) de Nancy accueillera à la rentrée 2011 une vingtaine de bacheliers S, STI et STL issus de zones d’éducation prioritaires et de zones sensibles. L’école qui forme des ingénieurs généralistes en cinq ans a paraphé le 7 juillet 2010 cinq conventions COSE (conventions d’ouverture sociale par l’éducation) avec cinq lycées de Lorraine, d’Île-de-France et de Bourgogne.
Le recrutement des lycéens sera préparé en étroite collaboration avec leur établissement, comme le décrit son directeur Arnaud Delebarre : "Une épreuve d’admissibilité basée sur la réalisation d’un travail personnel sera organisée au sein des lycées et complétée par un entretien." L’Esstin envisage de signer une vingtaine de conventions COSE d’ici à 2013.
Dans cette même logique, l’école vient d’ouvrir son recrutement aux bacheliers STI et STL. Ainsi, 15 diplômés de ces filières intégreront l’école en septembre 2010. Ils suivront un cursus aménagé principalement en première année puisque 70 % de leur programme demeurera spécifique. L’Esstin recrute environ 140 étudiants issus de la filière S via le concours Geipi-Polytech , l’un des plus importants concours de recrutement postbac.
Suivez aussi toute l'actualité du supérieur et de la recherche sur le compte Twitter d'Educpros
