Villes et universités : comment passer à une logique de projet ? (1re partie)

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Depuis la loi LRU, le monde universitaire a changé, tout comme ses relations avec les collectivités territoriales. Les universités ont davantage besoin des villes pour améliorer les conditions de vie étudiante, la mobilité étudiante et enseignante, la réhabilitation ou la construction de bâtiments. Les grandes agglomérations, quant à elles, entendent s'appuyer sur les acteurs de l'enseignement supérieur pour favoriser l'innovation et le développement de l'économie de la connaissance sur leur territoire. Si les intérêts sont communs, l'enjeu est désormais, pour les villes et les universités, de passer d'une logique de guichet à une logique de projet.


Comment travaillent ensemble villes et universités ? Pour répondre à cette question, Educpros s'est intéressé à quatre grandes agglomérations : la Communauté urbaine de Lyon ; la Communauté urbaine de Strasbourg, avec une interview de sa présidente, Catherine Trautmann ; le Grand Dijon ; la Plaine Commune.

Retrouvez également les témoignages du vice-président de Nantes Métropole, Yannick Guin, du délégué chargé de la recherche et des universités à Lille Métropole, Faustin Aissi, de Gilles Casamata, directeur de l'Institut national polytechnique de Toulouse et coprésident d'un groupe de travail sur le futur des enseignements universitaires au sein de la CPU (Conférence des présidents d'université), ou encore de Jean-Pierre Domergue, directeur du cabinet Sup' Conseil, qui mène des missions d'études et d'accompagnement relatives à l'organisation territoriale de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Maëlle FLOT, rédactrice en chef

Un dossier de Frédérique Letourneux

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