"Faut-il, pour lutter contre les discriminations et l'orientation "subie", donner plus de pouvoir aux parents? Sans doute, mais attention à l'effet boomerang.
Donner aux parents le dernier mot lors des choix d'orientation en fin de classe de troisième. Annoncée lors du Comité interministériel à la jeunesse, cette mesure est-elle de nature à diminuer le nombre des orientations subies, réputées annonciatrices de parcours chaotiques? Cela reste à prouver, pour trois raisons."