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Trouver une coloc, c'est plus simple que ça en a l'air !

Proposé par Crédit Agricole

Trouver une coloc, c'’est plus simple que ça en a l'air !
Trouver une coloc, c'’est plus simple que ça en a l'air ! © Adobe Stock
Par Proposé par le Crédit Agricole, publié le 16 octobre 2019
6 min

Trouver une colocation (de rêve), mission impossible ? C’est ce que je croyais ! Mais quand on est bien organisé et qu’on détient quelques tips, ça se fait les doigts dans le nez. Je partage avec toi mon expérience et mes petits secrets.

Quand j’ai décidé de m’inscrire en BTS hôtellerie-restauration, il m’a fallu quitter le nid parental pour me rapprocher de ma formation et de mon alternance. Mon envie ? Une super colocation. Mais l’accro aux séries que je suis avait du mal à y croire. À la télé, c’est toujours parfait, mais dans la vraie vie ? Déjà, il faut obtenir des visites. Ensuite, il faut trouver des colocataires avec qui « ça le fait » et enfin, il faut leur plaire et être choisi sur un marché où la concurrence est rude. Bref, un programme chargé ! En plus, je me connais, j’ai tendance à procrastiner dès qu’une tâche me paraît un peu trop grosse pour mon mètre 75… Mais bon, j’y suis allé pas à pas. Et si moi j’ai réussi à dénicher cette coloc de rêve, tu peux aussi y arriver ! Je te raconte mon parcours (signé : le meilleur coloc des quatre).

Fouiller la Toile avec assiduité

La bonne nouvelle, c’est qu’’en matière de colocation, des tonnes de sites d’annonces sont disponibles, demande à Google de te guider, les résultats vont pleuvoir ! Je te conseille d’être réactif et de te créer des alertes. Tu es prévenu dès qu’une annonce qui correspond à tes critères est publiée, ce qui te permet de passer un coup de fil du tac au tac. Perso, au début, je n’étais pas assez spontané, je me trouvais des excuses pour ne pas foncer, parce que j’avais peur de me faire recaler… Sauf qu’il ne se passait rien (logique). Bref, il faut se lancer. Et pense aussi à concevoir une note sur ton téléphone pour consigner les annonces, les numéros, qui tu as appelé ou non… Je me suis déjà emmêlé les pinceaux et pointé au mauvais endroit pour une visite, car je croyais qu’il s’agissait d’un autre appartement…

Être soi-même (et curieux) durant les visites

Pour la première visite que j’ai obtenue, je me suis sapé ! En mode entretien d’embauche. J’étais engoncé dans ma chemise mais je voulais faire bonne impression. Je souriais tout le temps et je répondais aux questions comme un premier de la classe. J’avais tout faux. Tu peux (et même tu dois !) rester toi-même. Parce que l’aventure qui t’attend… est sans filtre ! Quand on vit avec d’autres – des inconnus dans mon cas, du moins au départ – on partage un toit, dans une certaine intimité. Ce n’est pas la peine de tricher. Il faut être naturel, car autant savoir lors du premier café et du premier tour du propriétaire si le feeling passe entre tous. Et sinon, je t’invite à poser plein de questions sur l’organisation de la coloc, afin de savoir si ça te convient. Car si tu cherches à plaire, n’oublie pas que ça doit te plaire à toi aussi ! En te montrant curieux, tu feras d’une pierre deux coups : tu pourras mieux te projeter (ou pas) et du même coup prouver à toute l’équipe que tu es investi !

Montrer que tu es la bonne personne

Quand j’ai rencontré Sarah, Théo et Camille, j’ai tout de suite su que cette colocation était la bonne. Tous les trois dégageaient de la vie, de la bonne humeur, mais aussi du sérieux. Et puis ça ne se discute pas, je me suis senti bien. Ma crainte : ne pas être retenu. Là, j’ai écouté ma mère, qui m’a dit : « Dis-leur qui tu es, raconte-leur ce que tu veux, confie-leur ce que tu ressens. ». Bon, ma mère est une grande sensible, mais ce qu’elle voulait dire, c’est qu’il faut partager sa motivation, son engagement et surtout son désir. Il faut être vrai, comme lors de la visite, en relançant les colocataires et en leur expliquant sincèrement pourquoi on le sent. Je te recommande d’éviter les phrases bateau du genre « L’’appartement me plaît beaucoup, je suis très motivé pour vous rejoindre. ». Parle de toi, de tes choix, de tes envies, d’où tu viens, ce que tu pourras apporter... Ne sois pas un simple « pion » ou un candidat poli, mais toi-même !

Toute une banque avec toi !

Si j’ai pas mal procrastiné pour trouver une coloc, c’est parce que j’ai peur de la paperasse (la fameuse phobie…). Quand j’ai vu que je devais trouver une assurance habitation (c’est obligatoire pour tous les colocataires !), je me suis vu passer 70 heures à feuilleter Google… L’angoisse. Mais la bonne nouvelle, c’est que mes colocs étaient déjà assurés au Crédit Agricole, qui est aussi ma banque. Je ne savais même pas qu’elle pouvait m’assurer pour mon logement ! J’aurais pu souscrire tout seul, mais le contrat de mes colocs permet d’assurer toutes les personnes de la coloc sur un seul et même contrat. Et dans celui du Crédit Agricole, même pas la peine de préciser les noms de chacun au contrat ! C’était la solution idéale pour moi ! Hyper simple et en plus, c’est du solide. En cas de pépin souci, elle le prend en charge, et tous nos objets et effets personnels sont protégés (même le multimédia, pour parler comme ma mère).

Le contrat d’’assurance habitation est assuré par PACIFICA, filiale d’assurances dommages de Crédit Agricole Assurances.

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