JO 2024 : quelles sont les résidences Crous réquisitionnées en Île-de-France ?
INFO L'ETUDIANT / INFOGRAPHIE. Dans le cadre des JO de Paris 2024, un peu plus de 3.000 logements Crous d'Île-de-France accueilleront les personnels des Jeux. L'Etudiant fait le point sur les résidences qui sont concernées.
Du 26 juillet au 11 aout prochain auront lieu les Jeux olympiques 2024. Alors que la plupart des épreuves se dérouleront en Île-de-France, un peu plus de de 3.000 logements Crous devraient être utilisés pour loger du personnel des Jeux (pompiers, soignants, forces de l’ordre).
Ils devraient faire partie des quelque 6.000 logements libres chaque été dans la région pendant la période estivale. Pour le reste, c'est près de "2.200 étudiants qui auront besoin d’être relogés dans les logements vides d’autres résidences à proximité", précisait ainsi, il y a quelques semaines, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau, dans une interview donnée à nos confrères du Parisien, le 26 octobre dernier.
Quelles sont les résidences concernées par ces réquisitions ? L'Etudiant fait le point
Localisation des logements Crous réquisitionnés pour les JO
Crous de Créteil : 1.031 logements :
ENSAVT (207 logements)
George Sand (150 logements)
Îlot des Poiriers (200 logements)
Square Bel-Air (157 logements)
Marthe Gautier (317 logements)
Crous de Paris : 1.253 logements :
Francis de Croisset (396 logements)
Jourdan (366 logements)
Nicole Reine Lepaute (207 logements)
Poissonniers (284 logements)
Crous de Versailles : 979 logements :
George Sand (489 logements)
Eileen Gray (311 logements)
Charlotte Perriand (179 logements)
Cent euros et deux places pour des épreuves des JO en compensation
Pour rappel, si vous faites partie des étudiants devant être relogés, vous pourrez être indemnisé à hauteur de 100 euros, pour couvrir d’éventuels frais de déplacements. Vous recevrez aussi deux places pour une épreuve des Jeux en compensation.
L’objectif reste, pour tous les étudiants, le relogement pendant cette période : "Aucun étudiant ne se retrouvera sans logement", promet ainsi Sylvie Retailleau dans Le Parisien.
