Témoignage

La prépa économique, "deux années exigeantes mais très formatrices"

Malgré la grande charge de travail et l'exigence demandée, Maëla garde un bon souvenir de sa prépa économique.
Malgré la grande charge de travail et l'exigence demandée, Maëla garde un bon souvenir de sa prépa économique. © Photo fournie par le témoin
Par Catherine Piraud-Rouet, publié le 22 janvier 2020
3 min

Maëla, 20 ans, en première année à Burgundy School of Business (Dijon), revient sur ses deux années de prépa ECE (économique et commercial option économique). Une formation à la fois exigeante et formatrice, dans une ambiance de classe très soudée où l'entraide primait.

Maëla a intégré Burgundy School of Business (Dijon) après deux années de prépa ECE qu'elle a réalisées au lycée Joseph du Loquidy à Nantes (44). Elle a intégré cette prépa après un bac ES, mention bien. "J’en garde le souvenir d’une expérience exigeante, mais très formatrice, avec une ambiance de classe très soudée. L’entraide primait sur la compétition, car du fait du grand nombre d’écoles accessibles à la sortie, il y a de la place pour tous", indique Maëla.

Une bonne élève avec un profil maths-matières littéraires équilibré

Au lycée la jeune femme était "bonne élève" avec un profil maths-matières littéraires assez équilibré. Malgré cela, l'arrivée en prépa a été difficile : "côté notes, en arrivant en prépa, on se prend une claque ! Il faut tout remettre à plat et accepter la nécessité de tout approfondir. À la trentaine d’heures de cours hebdomadaires, j’en ajoutais au moins autant en travail personnel. Surtout en maths, bien plus approfondies qu’en terminale et matière principale", précise-t-elle.

"En économie, on analyse de façon poussée les grandes théories économiques, équations à l’appui parfois. En langues, c’est beaucoup de traductions. Le bloc culture générale est divisé en deux cours complémentaires: lettres et philosophie. Le premier nous entraînant à la contraction de texte et le second à la dissertation. En bref, la prépa rime avec travail très scolaire, mais aussi avec fort enrichissement intellectuel", détaille la jeune femme.

S'accorder le droit de lever le pied

La plus grande difficulté ? "Peut-être s’accorder le droit de lever le pied, pour faire du sport, respirer un peu pendant les vacances… En effet, entre les exercices, les colles et les devoirs sur table hebdomadaires, les livres à lire et les concours blancs semestriels, on n’a jamais vraiment fini !"

Au terme des concours, Maëla a choisi Burgundy School of Business (BSB) : "J’ai eu le coup de cœur pour les locaux et pour l’ambiance. S’il a fallu apprendre à travailler en groupe, la rigueur et la régularité apprises en prépa me servent au quotidien dans ce nouvel environnement, plus professionnel et concret."

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