Description
Secteur | Paramédical |
Niveau d’études minimal | Aucun |
Bac conseillé | Sans le bac |
Alternance | Oui |
Sélectivité des études | Faible |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant brut mensuel | Environ 1 500€ |
Il ne roule pas toujours toutes sirènes hurlantes, mais effectue quantité de trajets sur rendez-vous entre le domicile des malades et un centre médical. L’ambulancier est responsable de son véhicule et du matériel médical qu’il contient. Il doit savoir prendre en charge un patient, lui prodiguer les premiers soins en cas de nécessité.
Il peut travailler dans le secteur public (ambulances des établissements publics hospitaliers), dans le secteur privé (entreprises de transport sanitaire) ou pour un organisme d’assistance (la Croix-Rouge française, par exemple).
Ses compétences
Conduire, soigner, rassurer.
Sa formation
Le diplôme d’État d'ambulancier, obligatoire pour exercer, est accessible sans conditions de diplôme. Il faut être titulaire du permis B depuis au moins trois ans (deux ans en cas de conduite accompagnée), d’une attestation de formation PSC1 (Prévention et Secours Civiques de niveau 1) aux gestes et soins d’urgence (niveau 1 ou 2), d’une attestation préfectorale d’aptitude à la conduite d’une ambulance et d’un certificat médical de vaccinations.
Le candidat doit satisfaire aux épreuves d'entrée : épreuve écrite d’admissibilité et entretien oral d’admission.
La formation dure 18 semaines (dont cinq de stage) et elle est assurée dans une soixantaine de strutures : par la Croix-Rouge française, les écoles du groupe Aftral, dans des instituts spécialisés et des CHU (Centres Hospitaliers Universitaires). Environ 2 000 personnes sont diplômées chaque année.